Henri Kaufman : Voir ce que vous n'avez (peut-être) pas vu.
Pour des réflexions sur le Marketing, la Communication et le Design... et Miss.Tic, bienvenue sur mes 3 autres blogs !
Voilà un avant goût : d'abord, le "Fuji Yama" à 5 minutes de SF ! Puis une photo de Pizzeria. Dans l'avion, je lis un article sur les nouvelles utilisations des mots en anglais, et en particulier le mot "Orgasme" qui est mis à toutes les sauces (hum...). Et je tombe sur Filmore/Greewich sur cette pizzeria au nom évocateur. Je n'ai pas goûté (c'était pas l'heure). On se demande quel est leur ingrédient magique, non ? A suivre...
Dans la Vidéo du Succès de PPC et moi, sur le thème "Comment épouser un millionnaire", nos deux amies Mag & Taka se posaient la question, dans le premier "webisode" (sur 4 que comprendra la série) de trouver l'endroit où l'on peut trouver des millionnaires. Le Journal du Net répond partiellement à la question up-gradant le débat et en faisant un article très complet sur les "milliardaires partis de rien". Pas comme Pierre Dac qui nous racontait qu'il était parti de rien pour arriver nulle part... Bon, Milliardaire c'est sûrement plus difficile à attraper que Millionnaire, mais peut-être que "Qui peut le moins peut le plus" ? Sur ces 10 milliardaires, on trouve seulement deux femmes : Oprah Winfrey TV Show Woman avec 1 milliard et demi de $ et J K Rowling, auteure inattendu de la saga des Harry Potter, avec seulement un milliard de $. Tous les détails des biographies et du montant du compte en banque sont ICI. Donc, Messieurs qui cherchez une milliardaire, vous constaterez que la parité n'et pas respectée et le choix est plus restreint... mais elles sont bien plus belles que les milliardaires-hommes (sauf peut-être le Russe qui est en tôle et le beau Steve). Remarquez d'ailleurs que Milliardaire (et aussi Millionnaire) est un mot sans sexe, puisqu'il s'applique sans modification, aux hommes et aux femmes...
Not'Président, y cause plus souvent la banlieue... que le Neuilly ! Vendredi cite un blog qui enfile les perles présidentielles. Cela faisait longtemps que je voulais faire une note à ce propos ; autant aller sur les sites de ceux qui ont déjà traité le sujet. C'est assez simple, i suffit de reprendre les discours, surtout les improvisés. Une vidéo sur DailyMotion en reprend quelques extraits prononcés lors du déplacement récents chez Alsthom à Ornans (après qq secondes de pub très intrusives). La saillie sur la Princesse de Clèves en a remis une couche sur le parler classique, et a eu un effet inattendu, celui de booster les ventes de ce roman qui dormait bien tranquillement dans les rayons des libraires. Le "parlé relâché", c'est comme la mauvaise orthographe, c'est contagieux : on s'y
habitue et progressivement on commence fait des fautes soi-même. Extraits : ceux qu'on fait des études/, l'écologie, c'est pas qu'y est que des jardins et plus de boulot pour vos enfants et pour vous/, on s'demande à quoi ça leur a servi (les études)/, j'préfère qu'vous savez qu'vous soyez avec un actionnaire que vous connaissez ici/, ...
Dans la vidéo du succès "Séduire toutes les femmes", le séducteur masqué explique en 7 points comment etc... Bien sûr, il n'y a pas deux séductions identiques chez un même séducteur ; tout simplement, parce qu'il faut adapter son discours à la femme que l'on veut séduire. Heureusement d'ailleurs, sinon il s'agirait d'une opération mécanique (des fluides...) qui risquerait vite de devenir ennuyeuse. J'ai trouvé une vidéo qui vante les mérites du déodorant Axe, et dans laquelle on voit un beau jeune premier séduire plusieurs femmes - plusieurs canons plus exactement- sans prononcer une seule parole ! J'ignore si cette pub avec le séducteur muet a fait vendre plus de déodorant mais en tout cas, c'est une bonne réification métaphorique. Je l'adore. Et vous ?
Pour certains, dont Henri-Jean et moi, les détails, surtout ceux de l'histoire, n'en sont pas. Ce qui donne
l'occasion à HJ Anglade de laisser libre cours à son indignation. HK Il n’a pas pu s’en empêcher, de faire le fanfaron, de mettre son grain de sel dans les blessures de l’histoire, de redire que « les chambres à gaz sont un détail de l’histoire de la guerre mondiale », illustrant son gâtisme ou plutôt son irrépressible besoin de provoquer coûte que coûte, pour qu’on parle de lui avant que son pâle soleil ne soit définitivement déclinant. Lui qui pouvait prétendre présider la séance inaugurale du Parlement européen (le 7 juin) en tant que doyen a préféré cette sortie pour montrer qu’il était encore là à 80 ans, fier de ses convictions, debout dans ses éructations. Décidément, sept ans après le séisme de son arrivée au premier tour des présidentielles, quand il a éliminé Jospin, Le Pen n’en fini pas de jouer les vieux cabots, quitte à couler son propre navire et à caboter pour lui seul. La Marine n’a qu’à ramer pour tenter de récupérer ce qu’elle pourra. Après tout, l’extrême-droite en déconfiture et disqualifiée par de tels propos, c’est mieux qu’à 15%. Si seulement, le borgne pouvait écoper d’autre chose que du discrédit, ce serait bien. Une éviction du Parlement par exemple et une retraite définitive à Saint-Cloud où il pourrait nous écrire ses mémoires dont je lui suggère le titre « de l’eau dans le gaz ».
Aujourd'hui, porte ouverte à l'Atelier Hourdé, qui présente les créations de ses élèves. J'ai remarqué une sculpture inhabituelle et ai interrogé l'un de ses auteurs, Timothée K. (c'est, le hasard fait bien les choses, mon fiston...). Le thème de ce travail réalisé en 5 jours était l'illustration d'un film en s'inspirant du style d'un artiste connu. Timothée et son équipe (ils étaient 4) ont choisi Charlie et la Chocolaterie comme film et Niki de Saint Phalle comme artiste. L'Atelier Hourdé prépare ses élèves aux grandes écoles de graphisme (Beaux Arts, Arts Déco) de Design et d'Architecture intérieure. J'ai pris également quelques photos d'autres élèves, comme une installation inspirée de Kill Bill et quelques dessins remarquables.
Nous avions tous les jours le dessin d'humour politique de Placide. Nous avions tous les mercredi matin la Vidéo du Succès de PPC et moi. Eh bien maintenant, nous aurons tous les jours (du mardi matin au vendredi matin) un show dont il nous parle dans son blog. Cerise sur le cake, Vinvin nous offre un widget qui vous évitera de cliquer sur youtube ou autre pour voir la vidéo. Vous la déclencherez automatiquement depuis votre blog. Il ira loin ce petit Vinvin (dire que je l'ai rencontré la première fois à la soutenance de son diplôme de sortie d'Ecole de Commerce... où j'étais Président du Jury !!)
Voilà le pitch : Approchez Mesdames et Messieurs, il est tout chaud comme un petit
pain sorti du four, il sent bon la mie et le croustillant. Il s'appelle
"OFF AIR" et, ce matin, c'est le numéro 1.
Je
voulais depuis très très très longtemps refaire de la vidéo, pour le
plaisir surtout, pour balancer toutes les pensées obscures ou moins
obscures, crétines ou pas, qui me trottent toute la journée en
regardant le monde. OFF AIR, ça veut dire Hors Antenne. Ce sont toutes
ces petites choses qu'on ne peut pas dire, ou qu'on dit seulement à des
proches ou à soi-même, sans être bien sûr de soi mais en le disant
quand-même parce qu'on est libre comme des mouettes.
Retour aux fondamentaux ! : L'équipe de tournage ? C'est moi tout seul, où je veux et quand je veux. Le matos ? Mon MacBook Pro. La lumière ? Celle du jour. Le montage ? Encore moi, sur iMovie. La musique ? Composition personnelle sur Garageband, je ne veux pas d'ennuis avec la police. La ligne éditoriale ? Y'en a pas. Un sujet par jour, c'est tout. La durée d'un épisode ? Maximum trois minutes. Ok, celui-là en fait 4 mais on fait ce qu'on peut ;-).
Le seul truc que je vais essayer de m'imposer, c'est la périodicité. Tous les mardis, mercredis, jeudis et vendredis matins. Matins
Français j'entends. 4 jours sur 7 c'est déjà pas mal et ça tient en
éveil. Bien sûr, en cas de force majeure, de grosse panne d'inspiration
ou de rendez-vous avec Clint, je me permettrai de faire l'impasse. On
est pas à la télé, non plus !
Le premier épisode parle d'HADOPI, et plus particulièrement de notre chère Ministre, Christine Albanel.
Le
prochain sujet ? J'en sais rien, je me décide chaque jour à l'heure du
déjeuner (dîner pour vous :-) et je le fais dans la foulée. C'est parti, mon kiki !
C'est l'après-midi, dans le métro. Je reviens d'une conférence avec un membre du cabinet du Ministre du Commerce, suivie d'un cocktail-déjeuner à l'Automobile Club de France, Place de la Concorde. Je suis assis sur un strapontin, en face de deux femmes (assez) mures. Elles me regardent, et parlent entre elles. Je suis sûr qu'elles parlent de moi. Je les regarde à mon tour et fais un signe de tête dirigé vers elles, d'un air interrogateur. L'une des deux me dit : - vous êtes arménien ? en pointant son menton... vers une étiquette adhésive qu'on m'a collée sur ma ma veste (pour que tous les participants au regard d'aigle puissent lire le nom des autres sans trop se pencher, ce qui fait mauvais effet quand la dame a un décolleté plongeant), ...et que j'ai oublié d'ôter. - Ah, ben non, je m'aperçois que je me suis trompée ; de loin, j'avais lu kaufmian... - Et vous, vous venez d'où ? - Oui, on est arméniennes d'origine, mais moi j'habite à Ajaccio et mon amie habite à Monaco - Vous êtes arménienne avec des yeux bleus ? - Oui, oui, il y en a beaucoup qui ont les yeux bleus... - Et vous allez où ? - On va à la Porte d'Asnières et on descends à Porte Champerret. - Mais non, descendez à Wagram, c'est bien plus court. D'ailleurs, j'y descends aussi et vous montrerai le chemin - Vous n'allez pas nous perdre ? - Si, je vais vous faire tomber dans un grand trou ! (rires) Et nous voilà partis vers la Porte d'Asnières. En chemin, tout près de la bouche de métro, je vois l'endroit où se tient régulièrement le mendiant adossé au mur de la banque, comme un serre livre. Mais il n'est pas là. Seuls, par terre, un carton et une sébille avec une pièce au fond. Ce mendiant est trop fort, il a inventé le concept de mendiant virtuel !
Aujourd'hui, HJ Anglade a la moutarde qui lui monte au nez. Et il s'énerve.Espérons que la très belle boutique Maille à la Madeleine ne soit pas transformée en boutique de fringues ou de téléphones mobiles... HK
C’est un symbole et à ce titre il a valeur d’exemple : l’usine Amora de Dijon va fermer ses portes avant la fin de l’année. Dijon,
son palais des Ducs de Bourgogne, son chanoine Kir et sa moutarde,
c’est un peu de la France qui se lit dans cette énumération .
L’histoire avec Charles le Téméraire et Louis XI, une cour brillante et
une fin de loup puisque Charles sera bouffé par cet animal, aux portes
de Nancy en 1477 ; le Kir, apéritif promis à la gloire nationale et
propice aux brèves de comptoir, enfin, la moutarde, la seule qui
Maille. Une France de fins esprits et de fins gourmets… Las,
patatras, le groupe Unilever, propriétaire de la marque a décidé de
tirer un trait sur ce pan de notre patrimoine culinaire et de mettre
sur le carreau 244 salariés, lesquels sont descendus en masse dans la
rue pour manifester, comme des milliers d’autres en cette période de
rébellion. Qu’Unilever ne voie que son profit, cela n’étonne personne.
Un groupe américain dont la culture l’amène à confondre ketchup et
moutarde ne peut que lessiver ses employés. Et bien que l’usine ait
engrangé plus de 25 millions de résultats net, cela ne les gêne pas de
proposer en guise de remerciement pour bons et loyaux services 35 000
euros pour 20 ans d’ancienneté. Cela fait 7 euros par jour en lot de
consolation et d’amertume. De quoi aller prendre un menu au fast-food
et lever son verre de Coca à la santé de ces Yankees bien mal inspirés.
Je sais, je suis de mauvaise foi, le groupe aurait pu être
Japonais, il les aurait saké de la même façon. Ou bien Coréen, ou
encore Canadien, ou Brésilien ou même Français… Non, là les pouvoirs
publics auraient sans doute réagi, le député serait monté au créneau et
Sarko aurait déclaré Maille moutarde officielle de l’Elysée… La crise a
bon dos et ce sont toujours les mêmes qui trinquent. Mais qu’est-ce
qu’ils vont nous refiler comme moutarde au Mac Do ?
D'abord, je vous dis qu'il ne faut pas avoir de complexes ! Tomber sur un râteau n’est pas la fin du monde !
Et n’oubliez pas : la beauté ne fait gagner que 5 minutes. Les Vénitiens (et Casanova, le plus célèbre d’entre eux qui n'était pas un canon ), séduisaient masqué. C'est d'ailleurs pour celà que PPC et moi avons fait appel pour cette Vidéo du Succès à un ... séducteur masqué !
Globalement, on séduit quand on se met dans un état d’esprit à la fois détendu et attentif. La séduction se passe en deux phases. La première phase passe par le contact de la voix ou du regard, et la deuxième étape passe par le contact tactile 1- Être bien dans ses baskets, ses Converse ou ses Weston. Se sentir beau, être en demande. Et ensuite, repérer une nana qui soit dans les mêmes dispositions (tout un art...) 2- "Masquer ses intentions" (surtout si elles elles ont pour but immédiat : L - I - T) en prenant contact sous un autre prétexte. Quelques exemples qui marchent : rendre service (porter la valise, ramasser un objet tombé du caddie, ui passer son journal...), caresser son chien, lui répondre quand elle demande sa route et faire un bout de chemin avec elle,.. 3- Une fois le contact verbal réalisé, raconter une histoire. Il faut réussir à l’intéresser, la captiver, la surprendre, la faire sourire, la faire rire (Femme qui rit, femme à moitié dans ton lit, dit le proverbe). 4- Ensuite, écouter attentivement SON histoire (peu importe le thème) et montrer qu'on s'y intéresse intensément. Tout en l’écoutant, faire des commentaires ou lui dire des "trucs" qu'on a remarqués chez elle : l'harmonie des couleurs de ses fringues, la petite fossette sur sa joue, le titre du livre qu’elle est en train de lire, son parfum (ce ne serait pas Mlle Dior ? – peu importe si vous vous plantez), son écriture, etc... Ce point 4 est le point charnière (le point de « bascule ») qui déclenche -ou non- la suite des évènements. Ensuite (ou un autre jour), on passe aux choses sérieuses, c'est-à-dire le point 5 ! 5- Après le contact verbal, aborder le contact physique, fortuitement pendant une autre activité, genre lui prendre le bras en traversant la rue, lui toucher la main au ciné pendant une scène explosive,... À vous de trouver ! 6- Attendre et repérer le moment-clé de cette aventure qui commence (il ne se reproduira peut-être plus) ; c’est le moment où l'on change de registre, c'est le moment de «bascule» (hum, hum) et alors la caresser, voire l'embrasser dans une zone non névralgique
7- Pousser son avantage et l'embrasser vraiment
Conclusion : après ce qui s'est passé au point 7, lui faire des compliments : ce qu'on a "trouvé" en elle est encore mieux que tout ce qu'on imaginait... Recommencer à dire cela tous les jours. Et ne pas oublier l'adage de Martin Veyron : Il n'y a pas de forteresse imprenable, il n'y a que des conquérants vélléïtaires.
NB0 : Pour le symétrique, Séduire un homme, allez LÀ NB1 : La séduction sur les sites de rencontre ? Cela fera l’objet d’une autre vidéo. NB2 : Noter dans un coin de votre agenda le jour fatidique. Elles sont friandes d’anniversaires ! NB3 : Merci à Wandrille, dont la conversation au Festival de Romans a largement confirmé mes "trucs" NB4 : Le dessin fait partie d'une série de 4 dessins dessinés par François Boucq, pour une carte de vœux de Communider.
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