Ma modestie va souffrir : la tête de turc d'Henri-Jean aujourd'hui, c'est moi !
Au moment de ranger quelques journaux et magazines (à l’inverse d’Henri, je fais de temps à autre le tri sélectif), je tombe en arrêt sur image à la page 139 du n°3168 (daté du 29 septembre) de Télérama. Que vois-je ? Henri, oui, notre HK, posant au pied de son œuvre, une accumulation d’horloges, devant la gare St Lazare, c’est du moins ce que je crois. Tiens, Henri est chef de gare ? Ma raison déraille… Ou bien sculpteur ? C’est ça. Artiste, nous le savons, une sorte de Léonard de Vinci, un peu devin, un peu si…phonné de nouvelles technologies, comme l’aurait été ce brave Léonard s’il avait vécu de nos jours.
Mais là, le génie touche à tout prend tout son sens. Je me frotte les yeux, pas de doute, c’est bien lui : accumulateur dans l’âme (à commencer par les journaux, les agences, les BD, les femmes, les enfants, les maisons, les vices et les vertus et j’en passe et des meilleures…), il a bien caché son jeu, il a dupé son monde, au point que certains le croient, non pas pianiste dans un bordel, mais mort et enterré, alors qu’il continue de frayer dans les vivants et à semer le trouble dans les milieux bien autorisés.
Je suppute même que c’est pour cette raison, principale, qu’il s’est infiltré dans les réseaux, délivrant sa vraie fausse identité sur Facebouc afin de dissimuler son empreinte digitale, comme dirait notre ministre de l’Intérieur. Après vérification et enquête, je suis en mesure de révéler au monde qu’Henri Kaufman est Arman, et réciproquement. Comme aurait dit son ami : Ave César, moritori te salutant !
Henri-Jean Anglade
Hum, je trouve la ressemblance physique un peu lointaine ! HK Ma photo est signée John Cloutier.
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