"Ce sont les échecs bien supportés qui donnent le droit de réussir" disait Jean Mermoz, la légendaire figure de l'Aéropostale qui avait connu de nombreux échecs avant d'effectuer la traversée de l'Atlantique Sud !
Nous vivons dans une civilisation qui prône la réussite dans tous les domaines et un échec, surtout s'il est grave, nous affecte profondément laissant des traces durables dans notre inconscient. La plupart du temps, nous considérons que l'échec vient d'un manque de chance (si c'est vraiment cela, ce n'est pas trop grave car la chance tourne et elle reviendra bien, plus vite que vous le pensez) ou qu'il est de notre faute, même si les causes sont dues à des phénomènes extérieurs ou à des circonstances néfastes que nous n'étions pas préparés à surmonter. Et dans la vie, les probabilités d'échecs sont nombreuses : échec sentimental, échec physique, échec aux examens, échec au permis de conduire, échec professionnel ...
Pour bien redémarrer, il faut d'abord s'octroyer une petite pause. Selon les cas ou les individus, cette pause sera de quelques heures, ou jours, ou semaines. Une pause que vous mettrez à profit pour vous fixer un nouvel objectif, de nouvelles méthodes de travail, de nouvelles relation avec les "autres", qu'is appartiennent à votre milieu professionnel ou personnel. Et n'oubliez pas que pour remonter du fond de la piscine, il faudrait d'abord atteindre le fond et donner alors un grand coup de pied.
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