Eclectihk-log

84 Secrets de managers 84 : Être entrepreneur... dans son entreprise

Tout le monde n'est pas entrepreneur, et la plupart d'entre vous êtes salarié dans une entreprise, que ce soit Directeur, Chef de projet, manager...
C'est en s'entrainant à pratiquer cet esprit d'entreprise qu'au mieux on devient tôt ou tard entrepreneur soi-même. Pour y arriver, je vous conseille de suivre les quelques conseils ci-dessous.

• Soyez aussi passionné dans votre travail que dans votre vie. C'est la curiosité, la sérendipité et le plaisir de l'aventure qui vont pimenter votre vie
• Soyez généreux, "partageurs de savoir". C'est ainsi que vous attirerez les meilleurs à vous, et que vos fournisseurs et prestataires vous feront confiance
• Adoptez la "positive attitude". Les clients, les fournisseurs, les free-lances, les banquiers, les partenaires ne font confiance qu'à ceux qui ont une tête de "winner"
• Ne fermez JAMAIS votre bureau. Vous êtes accessible à tous et n'hésitez pas à aller voir très régulièrement chacun de vos collaborateurs.
• Soyez à l'affut de toutes les opportunités, et apprenez à les saisir. Ne tergiversez pas, la concurrence veille !
• Restez à la pointe de la technique de votre métier
• Soyez le même, que vous vous adressiez à un directeur ou à l'hôtesse
• Soyez présent dans les Réseaux Sociaux. Apprenez à parler à un journaliste ou en public. Et passez du temps à écrire vos déclarations ou interviews ;
• Ayez un "gouroux" près de vous, que vous consulterez de temps en temps quand vous aurez une décision à prendre.

83 = Secrets de managers qui réussissent : 83, L'art de critiquer

83, L'art de critiquer La critique est aisée et l'art est difficile ; pourquoi ? Parce que "les absents ont toujours tort" et "chassez le naturel, il revient au galop". La critique est toujours quelque chose de difficile à recevoir, surtout quand l'objet est de nature artistique. La bonne critique est celle qui ne blesse pas "celui qui a fait" et qui fait avancer positivement le débat. Il faut bien réfléchir.

• l'objet n'est pas de porter un jugement mais d'organiser un débat d'amélioration
• le critique n'est pas là pour se faire valoir mais pour améliorer le projet.
• ne faites pas l'économie d'étudier le contexte du projet, et en particulier les contraintes de tous ordres
• n'entrez pas dans la critique sans y avoir été invité par votre interlocuteur
• recevez les critiques avec humilité et douceur. Ne répondez pas vivement sous le coup de l'émotion. Référez vous tjs à l'objectif poursuivi.
•  La critique est un art progressif. Choisissez soigneusement celui qui est critiqué
• C'est le créatif qui doit décider au final
• Si la critique est faite en réunion, pas plus d'une heure et pas plus de 6 personnes. Faites faire un compte-rendu par quelqu'un de posé et neutre...             

82 secrets de Managers : 82 Les 12 "leçons" de Steve Jobs

Steve Jobs est malheureusement déjà parti. Il a marqué Internet d'une empreinte indélébile. Sa manière de diriger Apple, de rendre cette marque iconique, tant sur le plan de l'inventivité que celui du design restera dans nos mémoires. Voilà les 12 articles.

1.  Les conseils des experts ne sont pas à prendre au pied de la lettre. Ils sont à écouter quand ils préconisent ce qu'il ne faut pas faire, mais quand il s'agit de faire, écoutez vos tripes et votre petite voix intérieure.
2. Ce n'est pas aux clients de demander ce qu'il veulent. Ils ne sont pas créatifs, ils veulent le plus souvent des produits meilleurs, plus rapides, moins cher
3. Pensez disruption. Le meilleur produit n'est pas un produit existant qui a été amélioré à la marge mais un produit en rupture, un produit qui surprend vos concurrents et vos clients.
4. Les objectifs les plus ambitieux engendrent le meilleur travail (et le plus difficile !) Soyez exigeant, soyez exigeant...vis-à-vis de votre exigence
5. Le design n'est pas la cerise sur le gâteau, c'est souvent le gâteau. On ne rajoute pas une touche de design à la fin du process "pour faire beau". On commence à concevoir le produit au travers.
6. Concevez vos présentations avec le minimum de mots, écrits gros, et une belle direction artistique. Un mot fort sur un slide suffit. Steve Jobs était un amoureux de la typographie. Ne négligez pas cet aspect dans votre communication.
7. N'hésitez pas à changer d'avis, même au dernier moment. Si vous en êtes convaincu, foncez et mobilisez vos collaborateurs pour mettre les bouchées doubles ! 
8. Ne confondez pas valeur du produit et prix du produit. L'objectif n'est pas le prix le moins cher mais la plus grande valeur au meilleur prix (et là, Apple a réussi remarquablement.
9. Embauchez des gens comme vous, ET aussi des meilleurs que vous. Si vous ne faites pas cela, votre entreprise va éclater en 1000 morceaux.
10. Mettez-vous en scène quand vous présentez vos produits, si vous êtes le dirigeant de la société. Démontrez qu'il y a une équipe derrière vous. Un Président peut comprendre et présenter ce qu'il vend.
11. Soyez perfectionniste. Il faut bricoler jusqu'à ce que le produit mérite son introduction sur le marché ou qu'il crée son propre marché.
12. Appliquez la matrice Valeur / Unique : Il faut croire en ce que l'on fait pour le voir. Même si au départ, peu de gens n'y croient pas ; ce sont ceux-là qui seront le ferment pour changer le monde. The best way to forecast the future is to invent it !

81 Secrets de Managers : Y a-t-il un moment idéal pour prendre une décision ?

Y a-t-il un moment idéal pour prendre une décision ?
Prendre une décision demande un effort. Non pas un effort physique physique mais un effort mental. On se fatigue de prendre des décisions successives..., et elles sont de moins en moins bonnes. La fatigue mentale entraine deux conséquences :
- l'imprudence et une attention moindre aux risques entrainés par votre décision. Le cerveau prend des raccourcis
- le fait de différer la décision. Comme on est fatigué, on remet la décision à plus tard, à demain ou aux calendes grecques.

• Prendre une décision est toujours difficile. Non pas pour ses conséquences qu'il faudra assumer mais tout simplement à cause du passage à l'acte qui va vous faire plonger dans l'incertain. 
• Alors, mes conseils :
• Prenez vos décisions importantes le matin, frais et dispos
• Evitez de prendre trop de décisions, votre stock d'énergie mentale est limité
• Donnez du carburant à votre cerveau : du repos (c'est le meilleur) et/ou du sucre pour une accélération passagère.
• Conclusion : "Même les hommes les plus sages peuvent prendre des mauvaises décisions quand ils sont fatigués et en baisse de sucre". Les bons décisionnaires sont ceux qui s'aperçoivent quand ils ne peuvent plus se faire confiance.

80 = Secrets de Managers : Après le Gagnant-Gagnant, le Gagnant-Perdant ?

80 Après le Gagnant-Gagnant, le Gagnant-Perdant ?
Le fameux gagnant-gagnant : en acceptant ma proposition, vous gagnez et moi aussi : c'est donc un bénéfice pour nous deux. C'est une nouvelle manière d'aborder une négociation qui n'a que des avantages, puisqu'elle n'a pas de perdant !
Définition plus précise : Un accord Win-Win (gagnant-gagnant) ne s'agit pas de de rechercher le meilleur compromis de partage des gains, mais d'augmenter les gains de chaque partenaire. Il y a un nouveau concept, celui du gagnant-perdant. Une marque peut avoir des faiblesses (panne, livraison tardive, etc.). Si la marque ne fait pas "amende honorable" ni un "geste" vers le client, celui-ci sera mécontent, bougon et revanchard. Si l'incident est sérieux , le process d'infidélité est en marche.
A l'inverse, si la marque reconnait son erreur et décide de compenser cette erreur, elle va transformer le Perdant-Perdant en un Gagnant-Perdant, et conserver ainsi la fidélité du client.
Dans les relations interpersonnelles, c'est la même chose : si vous avez commis une erreur vis-à-vis d'un interlocuteur, il vaut mieux la reconnaitre tout simplement, s'en excuser et ainsi repartir du bon pied.

Vous avez tout à gagner à reconnaitre vos faiblesses, surtout quand elles sont peu fréquentes !

79 Secrets de Managers = : Votre meilleur allié ? Votre inconscient

79 Votre meilleur allié ? Votre inconscient
Votre inconscient travaille sans que vous le contrôliez, et pour peu que vous le sollicitiez il peut vous rendre de grands services, surtout quand vous avez une décision à prendre.
Si vous avez une décision à prendre comme par exemple A ou B, votre cerveau gauche (le rationnel, calculateur et planificateur) est suffisant pour décider A ou B.
En revanche, quand le choix est plus complexe, faites appel à votre inconscient en lui donnant un peu de temps. Des tests psychologiques ont montré que si on s'acharne à la solution s'un problème, le résultat est aussi mauvais que si vous prenez une décision impulsvive.
Alors comment mobiliser son inconscient ? La technique consiste à le distraire en faisant travailler votre inconscient en cherchant à résoudre des anagrammes, ou compter à l'envers. Votre inconscient vous soufflera la meilleure décision à prendre.
Quand j'étais au Lycée et que j'avais des problèmes de maths à résoudre j'appliquais une méthode analogue avec d'excellents résultats : j'allais me coucher en pensant au problème à résoudre et en laissant mon inconscient prendre le relais ; et le lendemain, je me levais et prenais une feuille de papier...pour écrire d'un jet la démonstration ou le résultat du problème posé : la solution coulait de mon stylo comme une eau de source.

C'était magique

78 Secrets de Managers : = Dopez votre cerveau !

• = Dopez votre cerveau ! Il ne s'agit pas de vous conseiller des substances illicites qui vous rendent plus créatifs ou plus efficaces ! Je vous donnerai des conseils diététiques qui vous aideront à vous concentrer
• La caféïne : elle vous aide à vous concentrer tout en en vous donnant un supplément d'énergie temporaire. on la trouve dans le café bien sûr mais aussi le chocolat, et les boissons "énergétiques"
• Le sucre : c'est l'aliment préféré de votre cerveau. Non pas sous forme de carré mais sous forme de glucose que votre corps fabrique à partir des produits hydrocarbonés que vous mangez. Mais attention, trop de sucre peut abimer votre mémoire , et votre métabolisme générai
• Le petit déjeuner : il augmente pendant un petit moment vos facultés de mémoire et de concentration. N'hésitez pas - comme moi - de manger du camembert le matin ! (pour éviter l'hypoglycémie de 11 heures)
• Le poisson : il est riche en acide gras et Oméga 3 , les meilleurs aliments sont les céréales, les laitages et les fruits
• Chocolat et noisettes : à prendre tous les jours, ils contiennent des anti-oxydants et la vitamine E. Et la caféïne trouvée dans le chocolat noir...
• Avocats et céréales : amélioration de la circulation sanguine, et diminue le "mauvais" cholestérol
• Les myrtilles : bénéfiques pour le cerveau, réduit l'apparition des maladies de l'âge
• Un menu équilibré : ni trop, ni trop peu. Trop manger fait dormir, peu assez -->  crampes d'estomac
• Les vitamines : vitamines, gingseng et autres. Vérifiez avec un docteur
• Conclusion : Si vous préparez un grand projet, petit déjeuner 100% jus de fruit, sandwich au saumon, tasse de café, dormez la nuit précédente, méditez et relaxez vous !

76 = Secrets des Managers : 76 = Underpromising, over delivering

• 76 = Secrets des Managers
• 76 = Underpromising, over delivering : Voilà une maxime US que j'adore dans sa brièveté, et son efficacité, et son domaine d'application qui est universel. En français, voila la traduction :
• Promettez moins que ce que vous avez l'intention de tenir
• Fournissez plus que ce que vous avez promis
• Cette maxime joue sur l'effet de surprise, sur le fait aussi que "vous en gardez sous le pied" ; l'interlocuteur auquel s'adresse votre promesse sera surpris dans un premier temps et enchanté dans un second temps.Il va en recevoir plus que pour son argent, plus que ce qu'il attendait, et il vous en saura gré.
• Alors, dosez vos arguments avec doigté. Sachez placer le curseur pour à la fois ne pas décevoir votre interlocuteur dans un premier temps et gardez des "munitions" pour le surprendre dans un deuxième temps. 
• Ne promettez jamais quelque chose que vous craignez ne pas pouvoir tenir, car vous risquez de perdre votre client ou votre ami à jamais.

75 = Secrets des Managers : = Avant, c'était plus facile ? Pas si sûr !

75 = Secrets des Managers

• = Avant, c'était plus facile ? Pas si sûr !
• Combien de fois ai-je entendu cette phrase ? Des 10zaines de fois, voire des centaines de fois.
• Avant, la concurrence était moins vive ;
• Avant, les clients étaient moins difficiles
• Avant, les fournisseurs étaient plus fiables et moins chers
• Avant, les collaborateurs étaient moins exigeants et plus travailleurs
• Avant, il n'y avait pas la concurrence chinoise
• Avant, les impôts étaient moins lourds, les formalités administratives plus légères
• Avant, les enfants apprenaient mieux à l'école et étaient moins violents
• Avant, les fruits avaient meilleurs goût
• Avant, Bref, tout était mieux, tout était plus rose, plus simple, plus rentable, moins pénible, etc.
• Inutile de vous le dire, les techniques changent, l'énergie et les temps changent. Vouloir ou espérer que les choses restent en l'état ne varietur, relève de l'utopie et l'immobilisme. je préfère l'expression :
•                     mutatis mutandis : ce qui doit varier varie                                                                                                                            

74= Secrets de managers. : 74 = N'ayez pas peur de l'échec !

74= Secrets de managers
74 = N'ayez pas peur de l'échec ! : Les magazines sont remplis de belles histoires où l'on voit des managers hyper doués qui réussissent tout ce qu'ils entreprennent, qui raflent tous les honneur, qui signent des contrats mirifiques, qui absorbent ou tuent leurs concurrents, etc. C'est comme s'ils avait une "baraka" inépuisable. La réalité est lin de ce tableau idyllique. La vie des affaires est une succession de mouvements d'un balancier qui oscille entre le succès et l'échec, entre la réussite et la débâcle...
Une longue succession de succès conduit fatalement, à plus ou moins longue échéance, à un échec retentissant. Pourquoi ? Tout simplement parce que l'heureux bénéficiaire de cette manne divine pense qu'il a simplement compris et il se croit tout permis : il prend des risques de plus ou moins grands, des paris de plus en plus grands, osés, importants..., et un jour le destin complice des statistiques met une pierre sur sa route, et l'échec est là, bien là.
Alors, K.O. debout ou rebond avec une expérience en plus ? Les vrais leaders savent bien qu'ils ne sont pas à l'abri d'un revers de fortune et quand celui-ci arrive, ils l'accueillent avec sérénité en pensant au coup suivant comme le bon joueur d'échecs. Les difficultés extrêmes produisent même ce que Boris Cyrulnick appelle la "résilience", et celle-ci fortifie le caractère et devient à son tour source de nouveau succès.
La dépression après un échec conduit non pas à un rebond mais à une incapacité d'entamer la remontée. Surtout, ne pas s'accrocher face à une situation désespérée. Aujourd'hui, les choses vont de plus en plus vite et s'accrocher revient le plus souvent à investir encore et encore plus de temps, d'énergie et d'argent.
Comme disent les américains : "Win or Fail Fast"