Eclectihk-log

92 Secrets de Managers : 92 N'ayez pas peur des idées créatives

92 N'ayez pas peur des idées créatives c'est classique : les idées "créatives" font peur. Quand un client me demandait, dans mon Agence Communider, de lui proposer un projet "créatif", je me disais in petto  "attention danger". Les gens préfèrent quoi qu'ils en disent les idées conformes, traditionnelles.

Depuis la maternelle, les professeurs n'aiment pas les enfants trop créatifs : ils sont disruptifs, indépendants, ne rentrent pas dans le moule.La raison principale est claire : une idée créative suppose une prise de risque, de mise en inconfort, de mystère quant à leur résultat, au budget de leur mise en œuvre, un risque d'échec aussi. Les gens n'aiment pas l'incertitude et ils tendent à la fuir tout en prétendant haut et fort et l'inverse. C'est pourquoi les changements sont si lents, les vieilles organisations perdurent sauf quand S. Jobs arrive et fait bouger les les lignes !
L'excitation de l'incertitude : le moteur le plus puissant pour innover. Alors, n'ayez pas peur d'accepter des idées créatives, et de foncer malgré l' immobilisme de ceux qui vous entourent. Avec des idées créatives, vous serez plus heureux.

85 Secrets de Managers. 85 : Comment choisir un bon partenaire ?

Choisir le BON partenaire n'est pas une mince affaire quand on lance une entreprise.Le succès de votre projet dépend de la pertinence de vos idées, de votre sens du BUSINESS, du hasard aussi... et de la qualité de vos partenaires.
Votre partenaire sera un artisan du succès, ou un motif de l'échec de votre projet. Alors analysons votre première grande décision d'entrepreneur, ...le quasi contrat du mariage.

• Analysez vos forces et faiblesses. Quelqu'un peut-il compenser vos faiblesses et booster vos forces ? Accepterez vous de qualité de cœur de partager pouvoirs et profits ?
• Ne choisissez pas un partenaire qui vous ressemble, vous vous marcherez sur les pieds. Et réfléchissez deux fois avant de pressentir un partenaire parmi vos amis proches ou, pire, dans votre famille. 
• Quels critères de choix du partenaire ? : Ses compétences (complémentaires des autres). Son expérience, voir son expérience, ses clients potentiels. Sa capacité d'investissement financier. Sa personnalité et l'harmonie quotidienne avec vous
• Les réponses à vos questions : Quel sera son apport déterminant  pour atteindre vos objectifs. Ses forces et ses faiblesses. Son sens de l'honnêteté, de la responsabilité, son éthique, ses valeurs, sa stabilité émotionnelle dans sa vie personnelle, son sens de l'écoute.
• Quand vous serez décidé, rédigez un contrat en bonne et due forme. Ne négligez pas ce point. Soignez en les points abordés avec votre avocat qui se chargera de la mise en forme.

84 Secrets de managers 84 : Être entrepreneur... dans son entreprise

Tout le monde n'est pas entrepreneur, et la plupart d'entre vous êtes salarié dans une entreprise, que ce soit Directeur, Chef de projet, manager...
C'est en s'entrainant à pratiquer cet esprit d'entreprise qu'au mieux on devient tôt ou tard entrepreneur soi-même. Pour y arriver, je vous conseille de suivre les quelques conseils ci-dessous.

• Soyez aussi passionné dans votre travail que dans votre vie. C'est la curiosité, la sérendipité et le plaisir de l'aventure qui vont pimenter votre vie
• Soyez généreux, "partageurs de savoir". C'est ainsi que vous attirerez les meilleurs à vous, et que vos fournisseurs et prestataires vous feront confiance
• Adoptez la "positive attitude". Les clients, les fournisseurs, les free-lances, les banquiers, les partenaires ne font confiance qu'à ceux qui ont une tête de "winner"
• Ne fermez JAMAIS votre bureau. Vous êtes accessible à tous et n'hésitez pas à aller voir très régulièrement chacun de vos collaborateurs.
• Soyez à l'affut de toutes les opportunités, et apprenez à les saisir. Ne tergiversez pas, la concurrence veille !
• Restez à la pointe de la technique de votre métier
• Soyez le même, que vous vous adressiez à un directeur ou à l'hôtesse
• Soyez présent dans les Réseaux Sociaux. Apprenez à parler à un journaliste ou en public. Et passez du temps à écrire vos déclarations ou interviews ;
• Ayez un "gouroux" près de vous, que vous consulterez de temps en temps quand vous aurez une décision à prendre.

83 = Secrets de managers qui réussissent : 83, L'art de critiquer

83, L'art de critiquer La critique est aisée et l'art est difficile ; pourquoi ? Parce que "les absents ont toujours tort" et "chassez le naturel, il revient au galop". La critique est toujours quelque chose de difficile à recevoir, surtout quand l'objet est de nature artistique. La bonne critique est celle qui ne blesse pas "celui qui a fait" et qui fait avancer positivement le débat. Il faut bien réfléchir.

• l'objet n'est pas de porter un jugement mais d'organiser un débat d'amélioration
• le critique n'est pas là pour se faire valoir mais pour améliorer le projet.
• ne faites pas l'économie d'étudier le contexte du projet, et en particulier les contraintes de tous ordres
• n'entrez pas dans la critique sans y avoir été invité par votre interlocuteur
• recevez les critiques avec humilité et douceur. Ne répondez pas vivement sous le coup de l'émotion. Référez vous tjs à l'objectif poursuivi.
•  La critique est un art progressif. Choisissez soigneusement celui qui est critiqué
• C'est le créatif qui doit décider au final
• Si la critique est faite en réunion, pas plus d'une heure et pas plus de 6 personnes. Faites faire un compte-rendu par quelqu'un de posé et neutre...             

82 secrets de Managers : 82 Les 12 "leçons" de Steve Jobs

Steve Jobs est malheureusement déjà parti. Il a marqué Internet d'une empreinte indélébile. Sa manière de diriger Apple, de rendre cette marque iconique, tant sur le plan de l'inventivité que celui du design restera dans nos mémoires. Voilà les 12 articles.

1.  Les conseils des experts ne sont pas à prendre au pied de la lettre. Ils sont à écouter quand ils préconisent ce qu'il ne faut pas faire, mais quand il s'agit de faire, écoutez vos tripes et votre petite voix intérieure.
2. Ce n'est pas aux clients de demander ce qu'il veulent. Ils ne sont pas créatifs, ils veulent le plus souvent des produits meilleurs, plus rapides, moins cher
3. Pensez disruption. Le meilleur produit n'est pas un produit existant qui a été amélioré à la marge mais un produit en rupture, un produit qui surprend vos concurrents et vos clients.
4. Les objectifs les plus ambitieux engendrent le meilleur travail (et le plus difficile !) Soyez exigeant, soyez exigeant...vis-à-vis de votre exigence
5. Le design n'est pas la cerise sur le gâteau, c'est souvent le gâteau. On ne rajoute pas une touche de design à la fin du process "pour faire beau". On commence à concevoir le produit au travers.
6. Concevez vos présentations avec le minimum de mots, écrits gros, et une belle direction artistique. Un mot fort sur un slide suffit. Steve Jobs était un amoureux de la typographie. Ne négligez pas cet aspect dans votre communication.
7. N'hésitez pas à changer d'avis, même au dernier moment. Si vous en êtes convaincu, foncez et mobilisez vos collaborateurs pour mettre les bouchées doubles ! 
8. Ne confondez pas valeur du produit et prix du produit. L'objectif n'est pas le prix le moins cher mais la plus grande valeur au meilleur prix (et là, Apple a réussi remarquablement.
9. Embauchez des gens comme vous, ET aussi des meilleurs que vous. Si vous ne faites pas cela, votre entreprise va éclater en 1000 morceaux.
10. Mettez-vous en scène quand vous présentez vos produits, si vous êtes le dirigeant de la société. Démontrez qu'il y a une équipe derrière vous. Un Président peut comprendre et présenter ce qu'il vend.
11. Soyez perfectionniste. Il faut bricoler jusqu'à ce que le produit mérite son introduction sur le marché ou qu'il crée son propre marché.
12. Appliquez la matrice Valeur / Unique : Il faut croire en ce que l'on fait pour le voir. Même si au départ, peu de gens n'y croient pas ; ce sont ceux-là qui seront le ferment pour changer le monde. The best way to forecast the future is to invent it !

81 Secrets de Managers : Y a-t-il un moment idéal pour prendre une décision ?

Y a-t-il un moment idéal pour prendre une décision ?
Prendre une décision demande un effort. Non pas un effort physique physique mais un effort mental. On se fatigue de prendre des décisions successives..., et elles sont de moins en moins bonnes. La fatigue mentale entraine deux conséquences :
- l'imprudence et une attention moindre aux risques entrainés par votre décision. Le cerveau prend des raccourcis
- le fait de différer la décision. Comme on est fatigué, on remet la décision à plus tard, à demain ou aux calendes grecques.

• Prendre une décision est toujours difficile. Non pas pour ses conséquences qu'il faudra assumer mais tout simplement à cause du passage à l'acte qui va vous faire plonger dans l'incertain. 
• Alors, mes conseils :
• Prenez vos décisions importantes le matin, frais et dispos
• Evitez de prendre trop de décisions, votre stock d'énergie mentale est limité
• Donnez du carburant à votre cerveau : du repos (c'est le meilleur) et/ou du sucre pour une accélération passagère.
• Conclusion : "Même les hommes les plus sages peuvent prendre des mauvaises décisions quand ils sont fatigués et en baisse de sucre". Les bons décisionnaires sont ceux qui s'aperçoivent quand ils ne peuvent plus se faire confiance.

73 = Secrets de Managers : = 73 Visualisez vos objectifs, oubliez les obstacles

73 = Secrets de Managers
= 73 Visualisez vos objectifs, oubliez les obstacles. Notre cerveau est une machine très sophistiquée. Et sa partie rationnelle écoute à notre insu tous nos sens, en particulier celui de la vue. En visualisant votre objectif, en conduisant votre flèche, vous augmenterez très sensiblement vos chances d'atteindre le centre de la cible. En allant voir au cinéma (hum,hum) Deliverance vous verrez comment l'esprit conduit une flèche vers sa cible...
Dans les affaires, c'est exactement la même chose. Etudier sa proposition, c'est bien mais c'est largement insuffisant. Il faut VISUALISER le chemin pour arriver à l'objectif et SE VOIR dans la position de celui qui a gagné, de celui qui est heureux et qui a atteint son objectif.
Et les obstacles me direz vous ? Regardons l'histoire des golfeurs débutants ; ils sont toujours angoissés à l'idée de passer ce que l'on appelle un obstacle d'eau, une mare
+ ou- qui les oblige à réussir un coup d'au moins 100mètres. Le joueur inexpérimenté se dit inconsciemment qu'il va rater ce coup ( et puisqu'il pense qu'il va rater le coup, eh bien IL VA LE RATER ). Le joueur va penser qu'il n'y a aucun obstacle devant lui : il suffit qu'il se dise qu'il n'y a pas d'eau. En ignorant l'obstacle, l'expérience (la mienne H. K.) montre  qu'on passe au-dessus de l'obstacle COMME S'IL N'AVAIT JAMAIS EXISTÉ...

67 = Secrets de Manager : 67 = Avez-vous l'esprit de l'escalier ?

67 = Secrets de Manager
67 = Avez-vous l'esprit de l'escalier ? Faites-vous partie de ceux... qui manquent de répartie, que ce soit dans un entretien ou dans une réunion ? Dès que l'entretien ou la réunion sont finis, vous sortez de la pièce et là, tout à coup, vous vous trouvez dans l'escalier et vous vous dites : 
Ah zut et zut, j'aurais dû lui répondre, ça et ça, au lieu de tourner autour du pot, de bafouiller (ou de ne rien dire) 
Ah, j'ai pas osé répliquer parce que je n'en étais pas absolument sûr sur le moment, mais je me rend compte maintenant que la proposition de Jules est complètement stupide. 
Cette lenteur de réaction ne signifie pas que vous êtes inintelligent, ça n'a rien à voir; vos méninges travaillent plus lentement quand vous êtes émus.
Pour lutter contre "cet esprit de l'escalier", il faut :
- Prendre conscience que vous êtes atteint de ce syndrome
- Quand vous avez quelque chose à dire, forcez vous à le dire tout de suite
- Essayez de prendre en traitement immédiat ou traitement de fond du marronnier blanc (Fleur de Bach)                 

66 = Secrets de Managers : 66 = Apprivoisez la Chance

66 = Secrets de Managers   
66 = Apprivoisez la Chance Faites-vous partie de ceux qui ont une chance permanente, ceux qui sont toujours au bon endroit, qui rencontrent toujours les bonnes personnes et qui au hasard choisissent systématiquement la bonne route ?
Ou alors vous faites partie de ceux qui n'ont jamais de chance, qui choisissent toujours les mauvais projets, qui ne rencontrent personne d'exceptionnel, bref qui ont la scoumoune collée aux chaussures ?
Bien sûr, dans la réalité, les clivages sont moins tranchés mais vous savez au fond de vous même que vous êtes plutôt dans le 1er cas ou plutôt dans le second.
Comprendre le pourquoi et le commun de la chance en lisant,, en anglais, mais très facile à décrypter, le livre Luck Factor de Richard Wiseman ; il a définit 4 principes :

• Principe 1 : maximisez vos chances de saisir les bonnes opportunités. Avoir de la chance c'est déjà commencer à croire qu'on est chanceux ; il faut rester ouvert et accepter de nouvelles expériences dans votre existence...
• Principe 2 :  écoutez vos prémonitions positives. Les gens qui ont de la chance ont appris à écouter leurs tripes et leur intuition. Il sont amis avec leur petite voix intérieure
•  Principe 3 : accueillez le heureux hasard. Fixez vous des objectifs et ne relâchez pas si votre premier objectif est atteint.
• Principe 4 : apprenez à transformer la malchance en bonne chance. Voyez le côté positif de vos échecs
• Et lisez mon livre sur la sérendipité. Dans ce livre, beaucoup d'exemples (dont certains personnels). Frôlez le risque du succès ! !                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                        

63 = Secrets de Managers : 63 Eloge de la Fluidité

63 Eloge de la Fluidité
63 Eloge de la Fluidité : Quand nous voulons démontrer ou expliquer quelque chose à quelqu'un, nous sommes la plupart du temps victime de ce qu'on peut appeler "l'effet miroir".Et cet effet miroir sévit autant dans le domaine professionnel que dans le domaine personnel.
L'effet miroir agit sur nos perceptions : il nous donne l'illusion que notre interlocuteur a le même mode de pensée que nous, le même rythme d'absorption, qu'i nous suit allègrement dans nos démonstrations, qu'il les comprend au fur et à mesure que nous les développons, qu'il nous suit dans tous les méandres et digressions de notre raisonnement, etc. 
Comment lutter contre cet effet miroir ? Voilà quelques conseils , fruits d'observations nombreuses et de l'expérience :
Comprenez bien que notre discours doit s'adresser au cerveau rationnel de notre interlocuteur mais aussi à son cerveau émotionnel. En conséquence, panachez les arguments rigoureux et qualitatifs si vous ne connaissez bien votre interlocuteur.
Observez attentivement votre interlocuteur et repérer les moments où son regard s'enfuit, où il croise les bras, où il se gratte l'arrière du crâne, etc. Il y a là de nombreux indices corporels qui vous indiqueront clairement, si vous savez les lire ou qu'il est en train d'aller hier.
Construisez votre discours de la manière la plus fluide possible.
Emaillez votre démonstration de surprises, de ruptures humoristiques de très courtes digressions. Elles ont pour but de réveiller l'attention de votre interlocuteur.
Evitez les jeux de mots abscons ou un vocabulaire qui a tendance à confondre l'érudition avec la pédanterie.
En résumé, soyez FLUIDE. votre discours doit se dérouler sans aspérités, couler comme une source. C'est la condition sine qua none pour "être entendu", compris.