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14/02/2019

Serrement de Dents ---> Pathologies de cause dentaire

  • La Dent, la plus atroce des douleurs sans mort.
    Ambroise Paré Chirurgien du Roi et des Champs de Batailles. 1509-1590
  • Voilà un article sur les conséquences du serrage de dents, qui a donné lieu à un livre édité aux Editions Kawa...
 

Comment se fait-il que que cette phrase ô combien juste ait résumé à elle seule les propriétés de l’organe dentaire vis à vis de la médecine occidentale ?   Cinq siècles d’ignorance de la réalité: il y en a assez !

 Comment se fait-il qu’encore aujourd’hui, l’expression « il faut serrer les dents » en cas d’effort ou de coup dur perdure, alors que c’est pour les femmes (en particulier) une calamité physio-pathologique !  

 

L’enseignement de l’ensemble de la physiopathologie de l’organe dentaire Mal-de-dos-fatigue-migraine-si-vous-serrez-les-dents-est quasiment inexistante dans les facultés de médecine occidentales ; Il n’en est pas de même en Extrême-Orient et surtout au Japon.

Il conviendrait simplement, en Occident, que l’enseignement en Faculté de Médecine s’occupe enfin de la sensibilité tactile des dents, établie au C.N.R.S de Marseille depuis plus de 40 ans par une équipe de l’Institut de Neurophysiologie ( INP1) dont j’ai eu l’honneur de faire partie.

Si cette sensibilité était mieux connue, on s’arrêterait définitivement de considérer uniquement la dent comme un organe de douleur. Par contre, on pourrait envisager éventuellement les méfaits de cette sensibilité tactile dès lors qu’un patient, majoritairement des femmes, ne cesse, par exemple, de serrer les dents le jour et/ou la nuit.

Une stimulation intense et/ou continuelle des dents s’avère, le plus souvent délétère pour l’organisme. Le nerf trijumeau sensitif, nerf des dents, le nerf le plus volumineux de l’organisme a été malencontreusement décrit seulement comme vecteur d’une douleur intense (névralgie faciale essentielle, algie vasculaire de la face, rage de dent). On a totalement occulté l’étude de la sensibilité tactile, épicritique des dents qui est d’une importance extrême, supérieure à celle des mains, comme les japonais en ont apporté la preuve à l’aide de l’Imagerie à Résonnance Magnétique fonctionnelle ( I.R.M. f )

Chez un individu normal : Loi de Neurophysiologie dentaire, totalement ignorée par les médecins, les dents ne sont en contact normal entre elles que lors de la déglutition=(lorsque vous avalez normalement votre salive)

Cette donnée oblige, dès lors, que le médecin s’implique systématiquement lors de  l'interrogatoiree. S’en trouveraient, peut-être, expliqués de nombreux cas de fibromyagie, de syndromes de fatigue chronique de vertiges idiopathique, d’acouphènes hors sifflement…

Seules la neuro-anatomie et la neurophysiologie sont susceptibles de nous donner une explication scientifique et cohérente.

La Neurophysiologie a établi par le biais de publications internationales 1975 et 1977 l’existence d’ une double innervation dentaire, nous entendons par là des récepteurs contenus dans le ligament dentaire, lequel fixe la dent dans l’os alvéolaire.

La Neuroanatomie :

1 : Description de DELMAS (Professeur d’anatomie à l’université de PARIS) « Les racines sensitives trigéminales innervant les dents peuvent établir leur première synapse au niveau caudal du complexe sensitif du trijumeau et ipso facto être en contact avec les neurones sensitifs cervicaux : C1 ,C2 ,C3 »

Il existe donc au niveau de la moelle cervicale un “pool“ de neurones trigémino-cervical. Les afférences dentaires (et celles en provenance de l’ATM) sont susceptibles de réaliser des synapses entre elles.

Pour DELMAS, « il existe, à ce niveau des cellules spéciales dites cellules funiculaires (ex cordonales) susceptibles de relier les métamères entre eux depuis la moelle cervicale jusqu’à la moelle sacrée ». : A.DELMAS Voies et centres nerveux p 46- 48 :10 eme ed MASSON PARIS.

Citons toujours DELMAS : « A ce niveau, les métamères voisins sont reliés les uns aux autres, de telle sorte que tout réflexe est, en pratique pluri-segmentaire et que ce réflexe peut, si l’excitation qui le provoque est d’une intensité suffisante, diffuser sur toute la hauteur de la moelle pouvant ainsi atteindre la moelle sacrée ».

Cette sur stimulation d’intensité suffisante, en l’occurrence, provient « de la crispation des mâchoires dents serrées » appelée par les spécialistes = bruxisme centré.

2 : Les Traceurs radio-actifs.

-Il a été établi et précisé, au sein des données internationales en neurosciences, par le biais des “traceurs radioactifs “ la réalité des projections trigéminales (donc des récepteurs dentaires et des récepteurs de l’ATM) :

* sur toute la longueur de la moelle épinière jusqu’à la moelle sacrée.
* au niveau du cervelet
* au niveau de l’hypothalamus
* au niveau des Noyaux vestibulaires
* au niveau du Noyau du Tractus Solitaire
* au niveau de l’area postrema etc…

Il conviendra ainsi :

– qu’il faut se retenir de croire, une fois pour toute, que l’innervation des dents est uniquement à caractère algique. Et de refuser de croire que l’innervation dentaire tactile et les récepteurs de l’A.T.M. ne puissent pas (surtout chez la femme) projeter très loin hors de la cavité buccale dans des territoires riches et variés.

14/02/2019 dans Air du temps, Conseil, Curiosité, Une bonne adresse | Lien permanent | Commentaires (0)

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29/01/2019

Voilà un endroit fabuleux où se niche un terrain de choix pour camper

Livre7Texte signé Christine Rosana, auteure de C'est mon Afrique, et vous allez l'adorer paru aux Ed. Kawa

Voilà un endroit fabuleux où se niche un terrain de choix pour camper.
Impossible de rêver plus belle salle à manger, fantastique chambre à coucher, démentielle salle de bain. Un campement au luxe visuel incomparable. De quoi laisser reposer son esprit, libérer sa pensée pour une retraite sauvage au cœur du bush namibien.

   Sous un acacia au tronc torturé d'innombrables scarifications naturelles, nous montons la tente. L'espace de quelques jours, le temps de se gorger de toute la beauté environnante, nous nous posons.

   Qu'il est bon de vivre au dehors, sans limite et sans murs, libre de décider si l'on s'installe ici ou là-bas, sans règle, sans aucune autre obligation que de profiter du moment. Ouvrir sa fenêtre sur l'immensité, jouir du soleil ou s'en protéger sous la canopée majestueuse d'un vieil arbre, marcher pieds nus ou simplement séparé du sol par une fine semelle. Ne pas réfléchir à une tenue Cest-mon-afrique-et-vous-allez-ladorer qui devrait plaire, un vêtement pour paraître. Ne pas composer pour être agréable à ses semblables, puisque l'on est seul. Simplement allongé sur le sable, les yeux perdus dans l'azur ou encore dans les frondaisons vertes, à l'ombre merveilleuse de l'arbre monument.

 

Pour en savoir plus : https://www.editions-kawa.com/nouveaux-livres/231-cest-mon-afrique-et-vous-allez-ladorer.html?search_query=afrique&results=4

29/01/2019 dans Conseil, Curiosité, Livres, Une bonne adresse, Voyages | Lien permanent | Commentaires (0)

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26/01/2019

Vernissage de Bordalo II

Lion BordalloL’artiste portugais Bordalo dénonce la pollution en transformant les ordures en œuvres d'art. Le résultat est aussi original que spectaculaire.

Casque de moto usé, tuyaux en plastique, vieux pneu ou chaise cassée… avec Artur Bordalo, le street art sort les poubelles. L’artiste portugais, connu sous le nom de Bordalo II — par respect pour son grand-père, peintre avant lui, il a rajouté ce « segundo » à son nom —, recycle en effet les ordures qui encombrent la ville pour les assembler en de grandes sculptures colorées accrochées aux murs.

Surnommés trash animals, ses beaux animaux Frankenstein sont aussi spectaculaires que militants : « ils dénoncent ce qui les tue : la pollution, les déchets en plastique. Au-delà de l’esthétique, je souhaite vraiment attirer l’attention du public sur les problèmes écologiques. La rue est un bon endroit pour le faire, même si ça m’oblige à avoir un message très direct et rapide. C’est pour cela que mes œuvres poussent les gens à se rapprocher. En voyant la matière, ils peuvent alors dans un deuxième temps en comprendre le sens ».

A voir à la Galerie Mathgoth 10-12 avenue de France à Paris, du 26 janvier au 2 mars. Une expo qui intéressera Philippe Michelot, membre de A R T I T U D E S 2019

26/01/2019 dans Art, Curiosité, Street-Art, Une bonne adresse | Lien permanent | Commentaires (0)

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04/01/2019

Les fils de Trump dirigent l'entreprise hôtelière

ScionLes fils de Trump dirigent l'entreprise hôtelière : Article paru dans le Washington Post d'aujourd'hui 4 Janvier et traduit par Google.

Peu de temps après l’entrée de Donald Trump à la Maison Blanche, ses fils aînés ont annoncé des projets ambitieux d’ouverture d’une série d’hôtels dénommés Scion, qui viseraient une clientèle jeune et branchée principalement dans les endroits où leur père s’est montré populaire auprès des électeurs.

La première Scion ouvrirait dans le delta du Mississippi au début de 2018. Une deuxième ligne d'hôtels, baptisée American Idea, suivrait bientôt, avec trois dans le Mississippi et plus d'une douzaine ailleurs. Au total, l’organisation Trump a déclaré avoir passé des accords préliminaires pour l’ouverture de 39 propriétés.

C’était l’idée principale et la plus audacieuse des frères d’expansion de l’entreprise familiale - une poussée dans des marchés qu’elle avait longtemps négligée, ont-ils déclaré.

Un an et demi plus tard, les progrès n'ont pas été rapides. Le premier Scion, à Cleveland, Missouri, reste presque un an après son achèvement. Les deux premiers hôtels American Idea, situés dans la même zone, ne seront ouverts que plus tard cette année.

Et aucun projet en dehors du Mississippi ne s'est matérialisé publiquement, laissant Donald Trump Jr. et Eric Trump peu célébrés après deux ans passés à superviser les affaires de leur père. Pendant ce temps, la société est devenue la cible de poursuites devant les tribunaux fédéraux et a perdu des marchés sur certains marchés après que ses partenaires se soient plaints de la marque.

L'homme d'affaires du Mississippi, Dinesh Chawla, et son frère Suresh, propriétaires de 18 hôtels dans la région de la côte du golfe, ont annoncé leur accord avec Trumps lors d'une réception fastueuse à la Trump Tower en juin 2017. Les Chawlas développeraient et seraient propriétaires du Scion; les atouts marqueraient et géreraient cela.

«Eric et moi avons eu un excellent cours intensif en Amérique au cours des deux dernières années», a déclaré Donald Trump Jr. à la foule d'environ 500 personnes à la réception. «Nous avons vu tant d’endroits et de villes et entendu tant d’histoires si touchantes. Des gens qui étaient si enthousiasmés par la perspective de ce pays et d'Americana en général. ”

04/01/2019 dans Actualité, Coupure de Presse, Curiosité, Une bonne adresse | Lien permanent | Commentaires (0)

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01/11/2018

Erasmus : Sauter la barrière de la langue !

ErasmusVoilà un article de Camille Elaraki, qui a écrit le livre : Réussir son Erasmus, aux Editions Kawa 

Photo : Camille et les autres Erasmus à notre dernier cours d'espagnol de l'année à Cadix, Espagne

 L'apprentissage naturel

 Un des avantages les plus évidents et les plus recherchés d'Erasmus est l'apprentissage d'une langue étrangère. Nombreux sont ceux qui choisissent leur destination selon ce critère. Certains vont en Angleterre car ils maîtrisent l'anglais. D'autres vont en Espagne, justement parce qu'ils ont des difficultés dans cette matière. C'est un choix. Les progrès sont plus remarquables quand on part avec plus de lacunes que d'aisance. Mais quoi qu'il en soit, on en revient avec un niveau bien meilleur. C'est inévitable. Immergé dans un pays étranger, on l'est aussi dans sa langue. Que l'on soit en études ou en stages, on travaille dans cette langue. On en apprend les termes techniques. Les bases de conversations qui nous permettent de faire des courses, ou de saluer les voisins deviennent des réflexes. Tous les jours, on apprend des mots de vocabulaire, des expressions idiomatiques. Surtout au début. Le bilinguisme devient un élément du quotidien.

L'apprentissage renforcé       

 De nombreuses villes proposent des cours de langue locale pour les étrangers (avec des prix avantageux pour les étudiants). Suivre ce genre de cours permet de lier la théorie à la pratique. De faire des progrès plus rapides et solides, tout en se faisant des camarades expatriés. À Cadix, par exemple, nous pouvions assister à un cours quotidien d'espagnol de deux heures, pendant un semestre (pour un peu plus de cent euros). Les instituts de langues modernes fleurissent dans les villes étudiantes. Si ces programmes vous intéressent, renseignez-vous auprès de votre université d'accueil .

La pratique des tandems est aussi très à la mode dans les villes où les Erasmus se trouvent en grand Erasmus2nombre. La règle du jeu est de se retrouver et de discuter dans la langue dans laquelle on souhaite s'améliorer avec un natif. Par exemple, si je veux apprendre le russe et qu'une russe veut apprendre le français, on se rencontre, on se parle, on alterne les langues et on se corrige. Cette mode, propice à l'organisation de soirées thématiques, est souvent prise en charge par les bars. À Cadix, le bar principal Erasmus, le Woodstock, consacre le mercredi soir à de telles rencontres. À l'entrée, des petits drapeaux autocollants sont distribués. Il s'agit de porter les couleurs des langues que l'on maîtrise déjà, et de repérer ceux qui parlent la langue qui nous intéresse. C'est une manière de s'améliorer, tout en se faisant des amis, en discutant et buvant des cocktails. Que demander de mieux ?

L'hégémonie de l'anglais, un problème ?

Il arrive même que certaines personnes doivent se confronter au trilinguisme. C'est souvent le cas lorsqu'on étudie dans une langue autre que l'anglais, dans un pays non anglophone, et que l'on fréquente des Erasmus qui ont pris le réflexe de communiquer entre eux en anglais. Ça dépend du groupe avec qui l'on est. J'ai connu des Autrichiens, qui parlaient un anglais impeccable et auraient pu se reposer sur cette maîtrise. Mais ils refusaient de dire un mot dans cette langue, expliquant qu'ils étaient venus en Espagne pour revenir avec un haut niveau d'espagnol. Même lorsqu'ils étaient entre eux, ils ne parlaient pas allemand.

 On peut facilement comprendre pourquoi d'autres, qui arrivent dans un pays avec aucune connaissance de la langue locale, commencent à construire leurs relations sociales en utilisant la langue internationale, que de nombreux Erasmus maîtrisent déjà en arrivant. Et cela peut devenir un réflexe. On peut le percevoir comme un inconvénient, car on fait moins de progrès dans la langue locale ; mais aussi comme un avantage, parce qu'on fait des progrès, plus lents, mais effectifs, dans les deux langues que l'on pratique chaque jour. Le véritable risque est que la langue dans laquelle on étudie devienne une « langue passive ». C'est-à-dire une langue que l'on peut comprendre, mais que l'on a du mal à parler. La pratique est nécessaire à toute amélioration dans une langue vivante. Le mieux est, sans doute, la diversité des relations, qui permet une pratique régulière, voire quotidienne, de différentes langues.

 La déprime

 Si l'immersion dans une langue étrangère nous permet la maîtrise rapide des bases de la langue, elle Camille chasse aussi en quelque sorte, la langue maternelle de notre quotidien. Bien sûr, une année ( ou plusieurs), à l'étranger ne vous fera pas oublier votre langue maternelle. Mais il est possible que, si vous ne la pratiquez pas très régulièrement, ce soit votre langue d'accueil qui prenne le pas sur vos pensées et sur vos rêves.  C'est un bon signe. Cela veut dire que vous commencez à maîtriser cette langue. Seulement à un certain moment, lorsque votre langue maternelle s'éloignera, et que vous ne serez pas encore très à l'aise dans votre langue d'accueil, il se peut que vous viviez une phase de transition un peu compliquée. C'est une sorte de déstructuration de la pensée qui s'entame. On ne pense plus en phrase linéaire, on s'embrouille dans les termes, et on a moins d'aisance à réfléchir. Sciences Po nous avait prévenus que cela pouvait nous arriver au bout de deux mois.

 Pour ma part, cette période de dépression n'est jamais arrivée, tout simplement parce que je parlais au téléphone, plusieurs heures par jour, avec mes proches restés en France. J'ai seulement remarqué que je perdais mes mots, quand je passais trop rapidement d'une langue à une autre. Rien de grave, donc. Mais une amie turque a vécu quelques semaines assez troubles, avant de rentrer chez elle, pour Noël. N'ayant pas vraiment le moyen de communiquer régulièrement avec sa famille, les Turques n'étant pas la communauté Erasmus la plus nombreuse, elle ne parlait tout bêtement plus sa langue maternelle au quotidien. Lorsqu'elle est arrivée à Cadix, elle ne connaissait pas dix mots espagnols. Elle se débrouillait en anglais. Mais dans son université, dans sa collocation, dans ses fréquentations, il n'y avait que des hispanophones. Elle a vécu l'euphorie des débuts, comme tout le monde, puis a eu un coup de mou. Se sentait isolée par ses difficultés dans sa langue d'accueil.

 Ça peut arriver. Les universités qui reçoivent des Erasmus sont au fait de ce phénomène. Souvent, des psychologues sont mis à notre disposition. Il faut en profiter si on en ressent le besoin. Et surtout, il ne faut pas se décourager pour si peu. Il s'agit seulement d'avoir un peu de patience, et de laisser notre langue d'accueil se structurer correctement dans notre esprit. C'est une mue qui s'opère.  Vous êtes simplement en train d'apprendre une langue très efficacement.          

Les risques du communautarisme étudiant

 On le voit donc, se laisser s'immerger dans une nouvelle langue, ce n'est pas si facile. Ça peut nous faire croire à une noyade. Ça nous fait peur. Dès le départ, lorsque l'on se retrouve dans un avion, où les annonces sont faites dans une langue que l'on ne comprend pas, et que l'on n'entend plus parler français, nos appréhensions s'en trouvent renforcées. Si l'opportunité se présente, on est tenté de reconstruire un maximum de nos repères perdus. Par exemple, certains ne vont que vers les Erasmus français pour socialiser. C'est un véritable risque. En Erasmus, les groupes mixtes sont courants, et ce sont les plus intéressants. Là, où l'on apprend des différences culturelles et linguistiques. Dans mon groupe du premier semestre, quand nous sortions, c'était avec une Turque, une Marocaine, un Polonais, un Algérien, une Allemande et moi, française. Mais il n'est pas rare de rencontrer des groupes communautaristes. Ce sont des groupes à éviter, pour la simple raison qu'ils nous soustraient à de très nombreux avantages qu'apporte un séjour à l'étranger. Dont, bien sûr, les progrès linguistiques.

 Par exemple, dans le bar Erasmus que je côtoyais, en repérant mon accent, une Française s'est approchée de moi, très heureuse de rencontrer une compatriote. Elle s'est présentée et nous avons échangé nos numéros de portable. Lorsqu'un ami espagnol m'a proposé d'aller prendre un café avec des Anglaises et une Norvégienne, je lui ai proposé de venir avec nous. Elle s'est très vite retrouvée à l'écart, refusant de parler anglais ou espagnol, par honte de son accent. Lorsqu'elle parlait, ce n'était qu'en français et seulement pour s'adresser à celle qui pouvait la comprendre, c'est-à-dire moi. J'ai vite compris qu'elle ne sortait qu'entre Français, que dans sa collocation, il n'y avait que des Françaises, qui venaient de la même école bretonne qu'elle. Autant dire qu'elle n'a pas fait beaucoup de rencontres, qu'elle n'a pas  appris à connaître de nouvelles cultures et de nouvelles mentalités, et qu'elle a très peu progressé en espagnol. Elle a construit les bases de son Erasmus sur la peur, ce qui l'a empêchée de profiter des opportunités de cette année. 

La peur de l'erreur

 Ce qu'il faut garder à l'esprit, pour se libérer d'une peur qui nous empêche de vivre notre année à l'étranger à fond, c'est que cette peur est illusoire. Tout le monde arrive en Erasmus avec son propre niveau de langue. Vous verrez de tout. Et cette diversité rend les étudiants très tolérants vis-à-vis des moins doués. Les natifs, plus que les autres, ne jugent que si vous n'essayez pas. Mon ami polonais parlait un anglais parfait. Mais il s'appliquait à parler espagnol dès qu'il rencontrait des natifs. Bavard de nature, il discutait beaucoup, même sans être à l'aise, et en faisant des fautes de grammaire et de vocabulaire. Il demandait qu'on le corrige, et retenait ce qu'on lui disait. Il répétait qu'il fallait apprendre des bébés : si eux aussi, ils abandonnaient après être tombés une, deux, trois fois avant de savoir marcher ? Il disait aussi quelque chose dont il faut se souvenir : l'accent étranger n'est pas une imperfection de notre maîtrise de la langue, mais un acte de bravoure. Loin de le juger, les Espagnols admiraient son assurance et l'aidaient. Ça  fait toujours plaisir de voir des étrangers essayer de parler sa propre langue. Ça n'inspire que de bons sentiments. Alors, n'ayons pas peur de parler.

 

01/11/2018 dans Conseil, Curiosité, Livres, Réflexion, Une bonne adresse, Voyages | Lien permanent | Commentaires (0)

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23/10/2018

Quelque part en Namibie : Courte visite d un village Himba au petit matin

CMAChristine Rosana, auteure Kawa du livre C'est mon Afrique, et vous allez l'adorer, a lancé une chaine YouTube Quelque part en Namibie. 
Une raison de plus d'aimer ce pays peu connu.

Témoin de sa grandeur comme de ses détresses, je vous entraîne au coeur de l’Afrique, sur ma terre d’adoption. Dans l’un des derniers bastions de la vie sauvage, dans l’un des plus fascinants pays de la planète : la Namibie.

Au fil de scènes courtes, à lire dans le sens qui vous séduira, vous découvrirez comment le destin m’a conduit vers ce continent d’exception, ainsi que les différentes facettes de ce pays : ses paysages, ses animaux et ses couleurs, ses hommes et leur histoire.
Voici ce que je vis, ce que je vois, ce que l’on me confie, pour un réquisitoire contre la tiédeur et l’ennui, un plaidoyer à la joie parfois détrônée par les larmes, qui donne ce mélange unique et étonnant qu’est la vie africaine.

« Les images et les sentiments qui m’habitent aujourd’hui, n’ont rien perdu de leur intensité. Je ne regrette rien du cheminement qui m’a conduit en Afrique, du destin qui m’a propulsée en terre namibienne… »

Laissez infuser en chacun vous la tolérance et les images, et vous aussi vous l’adorerez…

 

23/10/2018 dans Cinéma, Livres, Une bonne adresse, Voyages | Lien permanent | Commentaires (0)

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17/09/2018

Promenade en Namibie (Christine Rosana)

  CMAExtrait du livre de Christine, paru aux Editions Kawa : Le soleil est au zénith. Tout grésille sous la chaleur implacable qui fait trembler la piste, tout l’horizon s'efface dans un mirage. C’est le moment où les géants quittent leur maigre refuge ombragé pour une marche lente et déterminée. Quelque chose de puissant tiraille les éléphants : la soif.

   Ils se dirigent immuablement vers l’eau bienfaisante qui soulage et ravive jusqu'aux plus faibles. En cette saison sèche, il ne reste que les grands points d’eau capables d'abreuver les bêtes, les flaques profondes et abondantes à la saison des pluies s'étant depuis longtemps évaporées. La matriarche connaît tous ces lieux de survie, elle dirige depuis 30 ans ses sœurs et leurs enfants à travers ces étendues sèches.

 



 

17/09/2018 dans Curiosité, Livres, Réflexion, Une bonne adresse, Voyages, Weblogs | Lien permanent | Commentaires (0)

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14/09/2018

Problèmes de poids résolus par hypnose (et Corinne Cloix)

KHUn article paru il y a plus d'un an dans le Journal du Centre. Ce vendredi 17 mars 2017, une conférence a eu lieu à Marzy, sur l'hypnose ericksonienne et l'ostéopathie psychosomatique. Rencontre avec Corinne Cloix, hypnothérapeute.

Ce vendredi, à 19 h, salle du conseil municipal de Marzy, Corinne Cloix et Fanny Bazot expliqueront leurs pratiques : l'hypnose ericksonienne et l'ostéopathie psychosomatique.

Avant ce rendez-vous, nous avons suivi une séance d'hypnose chez Corinne Cloix. Ce matin-là, elle accueille Xavier, 33 ans, qui se fait hypnotiser, depuis 2014, par cette spécialiste.

"Je suis venu la voir pour perdre du poids, mais en fait, je me suis rendu compte que mon problème était surtout lié au travail. Depuis, j'ai beaucoup évolué. Mon travail a évolué. Je me sens beaucoup mieux. Corinne m'a aidé à me recentrer, au lieu de me disperser"

Premières impressions et intuitions
Comme toutes les autres personnes en contact avec Corinne Cloix, Xavier a pris son premier rendez-vous par téléphone. Une démarche qui n'est pas anodine pour elle. Lors de la prise de rendez-vous, on sent tout de suite s'il se passe quelque chose. Les premières impressions sont primordiales.

Après, la séance n'appartient qu'à eux. Corinne parle, plus ou moins doucement. Faisant plonger sa voix au plus profond de l'inconscient de Xavier.

Elle avance par métaphore, poussant, selon ses dires "à une confusion du conscient, tout en atteignant l'inconscient, qui, lui, comprend tout".

Xavier apprécie ces séances. "Elles me permettent de développer mon potentiel. A davantage suivre mes intuitions. Ecouter la réponse qui est en soi". 

 

Comme toutes les autres personnes en contact avec Corinne Cloix, Xavier a pris son premier rendez-vous par téléphone. Une démarche qui n'est pas anodine pour elle.

Lors de la prise de rendez-vous, on sent tout de suite s'il se passe quelque chose. Les premières impressions sont primordiales.

Après, la séance n'appartient qu'à eux. Corinne parle, plus ou moins doucement. Faisant plonger sa voix au plus profond de l'inconscient de Xavier.

Elle avance par métaphore, poussant, selon ses dires "à une confusion du conscient, tout en atteignant l'inconscient, qui, lui, comprend tout".

Xavier apprécie ces séances. "Elles me permettent de développer mon potentiel. A davantage suivre mes intuitions. Ecouter la réponse qui est en soi".

14/09/2018 dans Actualité, Conseil, Curiosité, Interview, Livres, Réflexion, Science, Une bonne adresse | Lien permanent | Commentaires (0)

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12/09/2018

Les problèmes de poids – Enfin, les solutions ! (par Corinne Cloix)

Les-problemes-de-poids-enfin-les-solutions-Vient de paraitre aux Editions Kawa un livre de la psycho-thérapeute Corinne Cloix qui va intéresser, j'espère, beaucoup de lecteurs qui ont un problème de poids : trop ou trop peu. Ce livre sera disponible dans quelques jours et vous pouvez le précommander dès aujourd'hui... 

Aujourd’hui, près de quatre Français sur dix sont en surpoids ou obèses et ces chiffres ne font qu’augmenter. Les problèmes de poids sont générateurs de maladies et d’inconfort. La plupart des gens qui souffrent de ces problèmes cherchent à se guérir en suivant des régimes, en contrôlant leur alimentation, en faisant du sport, etc. Mais hélas, dès qu’elles arrêtent leur régime, leur poids reprend de plus belle ; avec un effet « yoyo », elles retrouvent leur poids initial, voire le dépassent rapidement.

Pour Corinne Cloix, la seule solution efficace et permanente réside quelque part… dans leur inconscient. C’est en éliminant des freins psychologiques, avec l’hypnose en particulier, que rapidement, et définitivement, le poids s’envole ! Coco

Corinne Cloix est une fée thérapeute ; avec sa baguette magique, tout devient possible, vite et bien. Avec
les techniques de l’hypnose et du développement personnel, elle nous encourage à lâcher prise, à lâcher du lest aussi bien dans notre tête que dans notre corps.

Ses solutions sont inédites et durables, adressées à tous ceux qui ont des problèmes de poids (en trop ou en trop peu !) ainsi qu’à ceux qui veulent découvrir la recette du bonheur et de l’équilibre.

De nombreux témoignages de ceux qui ont suivi cette méthode, vous montrerons combien elle est efficace ! Si vous voulez vraiment que ça change, changez de stratégie en appliquant, enfin, une méthode qui fonctionne. Ça va aller…

Corinne CLOIX : C’est en 2012 que son destin a basculé. Elle a eu un grave accident, et elle a découvert que si elle travaillais sur son esprit, qu'il le guérissait, que son corps guérirait. À ce moment-là, elle ne mesurait pas la puissance de l’hypnose et du développement personnel, au point de transformer toute sa vie.

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10/09/2018

Devenez le prof idéal, grâce au neuromanagement

ProfTout au long de ma (longue) scolarité au Collège Turgot, puis au Lycée Chaptal, j'ai rencontré une kyrielle de professeurs qui m'ont marqué profondément. Je me souviens de mes professeurs d'allemand et d'anglais dans le premier cycle, de mon prof de maths en seconde, d'un autre prof de maths en Maths Sup, de mon prof de littérature en Maths Spé et encore mon prof de gym... Bref avec eux tout était facile et je n'avais qu'une envie : travailler fort pour avoir de bonnes notes et ainsi "mériter" leur enseignement. Ils avaient quelque chose de particulier, et c'est sans doute ce que Stéphanie Benlemselmi traduit dans son livre...

L'idée du livre de Stéphanie Benlemselmi, paru aux Editions Kawa est simple : Comment motiver au mieux les élèves pour obtenir 100% d'adhésion à chaque séance ? Stéphanie sait de quoi elle parle : 
Elle est spécialiste de la formation professionnelle et continue. Formatrice professionnelle en libéral, dirigeante d’entreprise, psychopédagogue et auteure, elle est passionnée par la psychoéducation et l’accompagnement des personnes.

Elle enseigne auprès d’un public varié : jeunes en alternance, adultes en reconversion professionnelle, enseignants et parents IEF.
Stéphanie Benlemselmi est diplômée d’un Master 2 en Sciences de l’Education ainsi que d’un Diplôme Universitaire en Neurosciences.
Vous serez intéressé par ce livre si vous avez des enfants en âge scolaire, et bien sûr si vous êtes enseignants.

Si vous travaillez dans le domaine de l’enseignement et de la formation, vous évoluez entre séances pédagogiques et outils d’apprentissage. Cependant, vous faites face à certaines constatations :

  • démotivation de vos apprenants,
  • manque d’intérêt de vos élèves pour votre discipline d’enseignement,
  • gestion de classe difficile,
  • absence d’outils innovants pour capter l’attention.

Et vous avez un souhait caché… être le meilleur dans votre domaine d’expertise ! Le livre « Devenez le prof idéal grâce au neuromanagement » est la boîte à outils qu’il vous faut !

Dans ce livre pratique, vous découvrirez les dernières avancées en neurosciences, vous comprendrez comment intégrer le neuromanagement en classe, et vous réussirez à prendre en charge tous les apprenants grâce à différents outils : programmation neurolinguistique, analyse transactionnelle, théorie des intelligences Multiples, tableau des troubles des apprentissages (DYS, TDA/H, précocité), musique, techniques de communication…

Ce livre est préfacé par Éric Gaspar, créateur du programme de neuroéducation Neurosup et auteur de plusieurs ouvrages dont « Incroyable cerveau ! » aux éditions Robert Laffont.

 

10/09/2018 dans Actualité, Conseil, Curiosité, Livres, Une bonne adresse | Lien permanent | Commentaires (0)

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