Pour faire mes courses alimentaires, mon cœur balance entre 3 méthodes : le traditionnel déplacement au magasin et les 2 méthodes liées à Internet. Comment optimiser mon temps et ma dépense ?
1- Aller au magasin et revenir avec les courses. En payant bien sûr le coût du carburant si on y va en voiture. Avantage : on y va quand on veut et on voit les produits avant de les acheter. Inconvénient, on perd du temps, on doit monter jusqu'à son appartement et on doit mettre de l’essence dans sa voiture…
2- Faire ses courses sur internet et aller les récupérer dans un lieu plus ou moins proche du magasin : c’est le Drive. On va en voiture au point de picking remplir son coffre des produits achetés sur internet et ensuite on galèrer pour transvaser le tout jusqu’à son appartement. Avantage : on gagne du temps en amont et on y va quand on veut. Inconvénient, on utilise sa voiture.
3- Faire ses courses sur internet et se faire livrer à domicile : c’est le cyberDrive. Bien sûr, le coût de livraison est ajouté au coût du panier ; son montant dépend de la distance entre le domicile et le commerçant. Avantage : on gagne beaucoup de temps. Inconvénient : on doit être chez soi au moment de la livraison, et bien sûr on paie la livraison.
Les solutions Drive et Cyberdrive se développent. Par exemple, aujourd’hui, il y a 6 000 produits référencés chez Leclerc Drive, 8 000 chez Auchan et près de 40 000 chez Houra (Cora) pionnier du cybermarché. Mais le choix optimum pour le consommateur n’est pas évident. Il dépend - à prix de vente identique selon les magasins - de plusieurs variables : frais de livraison versus coût de l’aller retour en voiture au point de picking.
Et ce coût ne fait que croître compte tenu de l’évolution du prix des carburants : pour une voiture moyenne, 50 centimes d’€ au kilomètre soit 7 € pour l’aller retour moyen à un gros hypermarché de périphérie de ville moyenne.
Ce coût se situe dans le bas de la fourchette des frais de livraison des grandes enseignes.
Encore faut-il que le consommateur connaisse précisément, en fonction de sa voiture, de son adresse et des localisations géographiques des hypermarchés et supermarchés, ce coût d’aller retour, coût qu’il a jusqu’à ce jour négligé. Il faut aussi qu’il connaisse les frais de livraison de chaque enseigne à son domicile.
On va savoir, sur Internet, répondre à ces questions
Ainsi, pour des zones d’habitation importantes que l’on peut dès à présent parfaitement isoler géographiquement, le cybermarché (avec livraison) devient, au fil de l’augmentation du carburant, un concurrent de plus en plus important aux Drive (sans livraison), formule de distribution présentée comme la formule d’avenir pour les jeunes couples dynamiques avec enfants. Mais il faudra surveiller les coûts de livraison…
Prenons un exemple réel dans l’agglomération de Nancy :le logo Leclerc donne la position du Leclerc Drive. L'hypothèse concerne une voiture moyenne (0,40 € au km)
En rouge la zone d'habitat où aller au Drive revient moins cher que de se faire livrer par "place du marché.fr" filiale de Casino frais : de 6 à 9 € en fonction du montant (6 € pour > 120 €) 5 000 réferences produits
En bleu la zone où aller au Drive revient moins cher que de se faire livrer par "Houra" filiale de Cora: frais 16 € pour > 75 € 40 000 références
Pour la zone en blanc (ex Lunéville), le consommateur a intéret à se faire livrer quelle que soit le cybermarché.
Conclusion : les décisions impulsives en matière de méthode pour faire ses courses ne sont pas forcément les plus économiques.
JP Chivot et H Kaufman
God save the Tweet ! par Philippe Boyer
- les possibilités de Tweeter sur le plan européen quand il est utiliser par les présidents et monarques
- la visite de Buckingham palace
- la découverte du protocole britannique et surtout de la vie quotidienne d'Elisabeth II qui apprend très vite à utiliser son smartphone et sa tablette !
- les dessous de la vie logistique dans le voisinage de la doyenne des monarques
- un roman policier au suspense très drôle à la fois très sérieux et très humoristique (d'humour anglais, évidemment...), et qui fait penser à Agatha Christie
- Un livre qui donne l'impression que son auteur, Philippe Boyer a été élevé sur le sol britannique !
Voilà le pitch du livre :
Doyenne des monarques, on croyait tout savoir sur la reine Elizabeth II. Après soixante-sept années de règne, la souveraine découvre le numérique à ses dépens lorsqu’un tweet malheureux de la BBC annonce son décès. Very shocking ! Il n’en faut pas plus à la reine pour se
montrer curieuse de ces nouvelles technologies jusqu’à devenir geek elle-même, aidée en cela par un jardinier de Buckingham Palace qui deviendra son précepteur numérique.
Le monde so British de la royauté, marqué par le protocole séculaire, va se trouver bouleversé par cette nouvelle « e-passion » royale.
Une fable cocasse, un brin politique et pédagogique, sur la façon dont le numérique bouleverse le quotidien de cette figure intemporelle de la monarchie britannique.
Vous ne vous ennuierez pas une seule seconde en lisant ce livre
05/03/2019 dans Billet d'humeur, Cinéma, Commentaires, Conseils, Curiosité, Evènement, Humour, La Boîte à Outils, Livres (Résumé à partager) , Psycho, Réseaux Sociaux | Lien permanent | Commentaires (0)
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