Variations sur le thème de la couleur des nombres irrationnels (Pi, Nombre d'or, etc...)
Ces tableaux uniques sur aluminium, conçus et réalisés par Riad Hattouti et Henri Kaufman ont été exposés dans plusieurs galeries.
98 T'en penses quoi ?Il arrive très souvent que quelqu'un qui a réalisé quelque chose vous demande : t'en penses quoi ? Question difficile, ou plutôt réponse difficile. Comment faire pour dire la vérité sans froisser l'égo de votre interlocuteur. La bonne réponse dépend du fait de savoir si le projet est terminé, ou en cours d'élaboration, et donc encore modifiable... si votre avis semble pertinent à votre questionneur. 1- Si le projet est terminé : la question relève de l'égo du questionneur qui cherche votre approbation pour se faire plaisir ou pour se faire valoir. Une réponse négative de votre part sera la plupart du temps considérée, sciemment ou inconsciemment, comme une offre personnelle, voire une humiliation par le questionneur. 2- Si le projet est en cours d'élaboration : faites vos critiques, mais de manière constructive. Evitez le terrible "j'aime pas" sans justification.MOTIVEZ VOTRE AVIS, c'est important quand il s'agit d'une question dans le domaine qualitatif.
N'oubliez jamais que : c'est le projet que vous jugez, pas l'homme ou la femme qui l'a conçu
95 Je sais ce que tu penses. Très souvent, quand deux points de vue s'affrontent, l'un des protagonistes imagine et dit à l'autre : je sais exactement ce que tu penses. Evidemment, on ne sait pas exactement ce que pense l'autre ; et de cette approximation naissent des malentendus, des méprises, des quiproquos, des mésententes, des mauvaises interprétations.
La liste est longue des erreurs qu'on peut commettre en faisant confiance à son intuition. Alors comment faire ? Pour bien comprendre la méthode, lisez la suite :
A va expliquer à B ce qu'il pense que B pense, jusqu'à ce que B soit satisfait de l'interprétation
Ensuite B va expliquer à A ce qu'il pense que A pense jusqu'à ce que A soit satisfait de l'interprétation.
Cette manière de faire, en entreprise mais aussi dans les relations de couple désamorce les désaccords dûs aux malentendus. Et fréquemment, l'un des deux, A par exemple dira à B : mais j'étais loin de me douter de ce que tu pensais que je pense...
Résultat : une meilleure compréhension du point de vue de l'autre et une chance bien meilleure d'arriver à un accord.
95 Je sais ce que tu penses. Très souvent, quand deux points de vue s'affrontent, l'un des protagonistes imagine et dit à l'autre : je sais exactement ce que tu penses. Evidemment, on ne sait pas exactement ce que pense l'autre ; et de cette approximation naissent des malentendus, des méprises, des quiproquos, des mésententes, des mauvaises interprétations.
La liste est longue des erreurs qu'on peut commettre en faisant confiance à son intuition. Alors comment faire ? Pour bien comprendre la méthode, lisez la suite :
A va expliquer à B ce qu'il pense que B pense, jusqu'à ce que B soit satisfait de l'interprétation
Ensuite B va expliquer à A ce qu'il pense que A pense jusqu'à ce que A soit satisfait de l'interprétation.
Cette manière de faire, en entreprise mais aussi dans les relations de couple désamorce les désaccords dûs aux malentendus. Et fréquemment, l'un des deux, A par exemple dira à B : mais j'étais loin de me douter de ce que tu pensais que je pense...
Résultat : une meilleure compréhension du point de vue de l'autre et une chance bien meilleure d'arriver à un accord.
95 Je sais ce que tu pensesTrès souvent, quand deux points de vus s'affrontent, l'un des protagonistes imagine et dit à l'autre : je sais exactement ce que tu penses. Evidemment, on ne sait pas exactement ce que pense l'autre ; et de cette approximation naissent des malentendus, des méprises, des quiproquos, des mésententes, des mauvaises interprétations. La liste est longueur des erreurs qu'on peut commettre en faisant confiance à son intuition : A expose à B ce qu'il pense de la discussion et ensuite B expose à A ce qu'il pense de son côté. voilà ce qui se passe dans la discussion A vers B et B vers A :
A va expliquer à B ce qu'il pense que B pense, jusqu'à ce que B soit satisfait
Ensuite B va expliquer à A ce qu'il pense que A pense, jusqu'à ce que A soit satisfait de l'interprétation.
Cette manière de faire en entreprise mais aussi dans les relations de couple désamorce largement les désaccords dûs aux malentendus. Et fréquemment A par exemple dira à B : mais j'étais loin de me douter de ce que tu pensais que je pense
Résultat : une meilleure compréhension du point de vue de l'autre et une chance bien meilleure d'arriver à un accord.
Comment identifier le type de personnalité DISC d'un collègue à la vue de son bureau ?
Il s'agit d'un article Publié sur LinkedIn, le 6 juin 2018 publié par Alain BERTRANDE , Directeur associé at KEYROS management
Une fois que l’on connaît le type de personnalité d'un collègue, il est beaucoup plus facile d'interagir avec lui. Être capable de faire la différence entre un type de personnalité D I S C peut vous aider à aborder divers types de situations délicates au bureau. Un travail commun sur un projet, le respect des délais de collaboration et la communication interne quotidienne au bureau sont plus simples lorsqu'on connait la dynamique entre notre personnalité et celle des autres.
Mais comment être en mesure d'identifier la personnalité de quelqu'un sur son lieu de travail sans utiliser le test D I S C ? Pourquoi ne pas commencer par observer son bureau ?
Il y a beaucoup de choses à découvrir sur la personnalité de quelqu'un par la simple observation de son bureau. Allant de propres et minimalistes à encombrés et chaotiques, les bureaux peuvent être l'expression externe des traits de personnalité les plus ancrés. Voici quelques aspects à prendre en compte :
D : STYLE DE BUREAU Rationalisé et efficace
Le bureau de quelqu'un avec un style de personnalité D peut être un peu plus difficile à repérer. Leur bureau ne sera pas austère et minimaliste, mais il sera certainement plus organisé et impersonnel que l'espace de travail d'un I ou d'un S. La principale chose à observer est une surface de bureau qui est dégagée d'objets inutiles, où tout ce qui a un usage important est à l'extérieur. Le but de la personnalité D est de maximiser l'efficacité et de faire les choses aussi rapidement que possible sans compromettre la qualité. Ils veulent tout à portée de main, pour pouvoir aller vite. Il n'y aura rien de superflu sur la surface ou d'objets inutiles qui pourraient être des obstacles pour atteindre ce dont ils ont besoin quand ils en ont besoin. La personnalité de style D est toujours en mouvement, et elle a besoin de faire avancer les choses ... MAINTENANT. Son bureau sera organisé pour atteindre cet objectif.
I : STYLE DE BUREAU Encombré et chaotique
Si vous voyez un bureau où les choses sont empilées et encombrent l'espace de travail, vous avez probablement affaire à une personnalité I. Cela ne veut pas dire que les gens ayant une personnalité " I " sont plus désordonnés que d'autres types de personnalité, c'est juste que quand il s'agit d'organisation, ils n'ont tout simplement pas de patience. Ils ne craignent pas l'encombrement, aiment avoir tout à la vue. En fait, même s'il peut vous sembler qu'il n'y a aucune organisation, il y a fort à parier que la personne avec la personnalité I peut vous dire exactement où se trouve chaque chose. En d'autres termes, ils disposent probablement d'un système organisationnel, mais ce n'est pas un système où tout est rangé dans un tiroir ou un meuble. En un mot, l'énergie et l'activité de la personnalité I sont personnifiées par le tourbillon que représente leur bureau.
S : STYLE DE BUREAU Personnalisé et accueillant
Si vous voyez un bureau qui a été décoré avec des touches personnelles, comme des plantes et des photographies de la famille, vous observez probablement l'espace de travail d'une personne ayant un type de personnalité S. Un S aime que son bureau soit une extension de sa maison, et ne travaille pas bien dans les environnements qui sont froids ou impersonnels.
C : STYLE DE BUREAU rangé et organisé
Une personne dont le bureau est comme celui de la photo ci-dessus a probablement une personnalité « C ». Il n'y a pas de désordre, et la quantité d'objets sur le bureau est minime. Même en regardant ce bureau à distance, vous pouvez dire que tout est à sa place. Si vous deviez jeter un œil à un tiroir ouvert, vous verriez que le même genre d'organisation y est appliqué. Recherchez un organisateur de tiroir, avec tout soigneusement compartimenté. C'est l'empreinte d'un type de personnalité qui aime que tout soit rangé, et a du mal à atteindre son potentiel dans un environnement chaotique.
En vous promenant dans le bureau, assurez-vous de prendre note des différentes façons dont vos collègues ont choisi d'organiser leurs espaces de travail. Cela peut vous en dire beaucoup sur le style de personnalité de la personne et vous donner un bon aperçu des meilleures façons de travailler ensemble.
Pour aller plus loin, je vous invite à regarder cette vidéo tournée chez moi en ...2008 et qui a été regardée 15 000 fois
Et si votre patron était beaucoup plus jeune que vous ? Et si votre patron en connaissait infiniment plus se l'univers numérique que vous ? Avouez qu'au début vous l'"auriez mauvaise", non ? Eh bien ces digital natives de la Génération Y qui ont grosso modo entre 25 et 35 ans arrivent désormais aux poste de commande des entreprises. Les Vidéos du Succès de PPC et HK vont vous dire comment faire pour que la cohabitation avec ces jeunes patrons se passe au mieux...
1- Votre patron a 20 ans de moins que vous. Mais attention, il y a des gens plus âgés qui sont comme des poissons dans l'eau dans le domaine numérique...
2- Quelqu'un de la génération Y se caractérisent par des centre d'intérêt divers, il fait plusieurs choses à la fois (on les appelle pour cela qu'on les appelle des "slash-gens"),
3- Les Gen Y sont connectés quasiment 24 / 24 et ils risquent de vous appeler ou de vous envoyer des mails à des heures indues, et même pendant le WE.
4- Les Gen Y aiment prendre des risques, et sortir de leur zone de confort. Pour eux, les erreurs sont des matières à réflexion et une incitation à faire mieux la prochaine fois.
5- Les gen Y ne sont pas des perfectionnistes. Ils préfèrent sortir vite un produit imparfait, avec des mises à jours ultérieures multiples que sortir le produit parfait après des mois ou années d'attente... Pourquoi ? Parce que le marché n'attend pas et qu'il faut aller vite convaincre les clients...
6- Il faut que les gens non Digital natives apprennent à manipuler les outils du Web (ordi, smartphone, iPad, etc.) en regardant faire leur jeune patron...
7- Conclusion : on apprend et on est "énergisé" à leur contact. C'est le bon côté de la chose !
Aujourd'hui, un sujet sérieux des Vidéos du Succès, destiné à tous les pros qui veulent utiliser l'application Periscope pour leur entreprise. Je rappelle que Periscope permet de tourner une vidéo en live relayée sur Twitter et commentée en direct par les visionneurs. PPC qui est en scène est un des premiers pionniers en France à utiliser massivement Periscope ! Ses conseils sont précieux.
1- Préparer soigneusement son Periscope. Pas d'improvisation ! Le wifi, la batterie du smartphone, le décor, le bruit, les contre-jours, les reflets, répéter la scénographie. 2- Se concentrer sur la console de Periscope. Camera en mode portrait (et pas en paysage) pour voir les commentaires. Trouver un titre accrocheur, localiser la prise de vue. Ne pas bloquer les commentaires de ceux qui ne vous "suivent" pas. Utiliser la force de twitter (le faire savoir...). Soigner le visuel de début. 3- Organiser la viralité. Inciter les followers de twitter et de periscope à vous suivre. 4- Organiser l'interaction. demander à communiquer et commenter, à envoyer des cœurs 5- Rappeler le contexte de ce que vous faites, pour ceux qui vous rejoignent en cours de route. 6- Répondre aux questions posées par ceux qui vous suivent ! 7- Remercier tous les participants ! Et ceux qui ont aidé en coulisse...
Dans la vie d'une entreprise, il y a toujours des passages difficiles, des passages de transition (que les Américains appellent des "tipping points"). Les vidéos du succès de PPC&HK les ont étudiées (longue expérience du business !...) et ont souhaité partager leur expérience avec vous :
1- Le premier chiffre fatidique est "1". En effet, vous allez probablement quitter un statut de salarié pour créer votre entreprise et vous allez vous retrouver seul ; seul face aux décisions, seul face aux risques, seul face au succès et à l'échec. Vous n'avez plus de chef, plus de parapluie au-dessus de vous. C'est une situation nouvelle pour vous dont il faut prendre conscience, il faudra désormais assumer toutes les conséquences de vos décisions.
2- Le deuxième chiffre est "2". En effet, vous allez peut-être prendre un associé. Il faudra le choisir avec soin car vous allez former un couple pour de longues années. Il faudra le supporter, que ses qualités soient complémentaires des vôtres, que vos conflits (il y en aura sûrement) ne mènent pas à des batailles sans issue...
3- Le troisième chiffre, c'est le chiffre "3". En effet, vous allez recruter quelqu'un, et ce sera votre premier salarié. Apprendre à gérer un collaborateur, à déléguer, à le payer tous les mois, à le former, à le réprimander éventuellement, ça ne s'apprend pas dans les écoles. Il faudra, sur le terrain, apprendre puis montrer vos qualités de leader !
4- Le quatrième chiffre est le chiffre "8". C'est ce qu'on appelle le chiffre de la "Pizza-team". Cela correspond au nombre limite de parts de pizza qu'on peut partager sans que chacune des parts soit trop petite. 8, c'est le nombre idéal pour une équipe qui réfléchit à un projet ou qui est mobilisée pour atteindre des objectifs. Moins de huit : il y a des conflits de personnalités qui tirent à hue et à dia, plus de huit c'est difficile à gérer, il y a de la dispersion et un manque de concentration.
5- Le cinquième chiffre se situe en "20 et 25". Cela représente déjà beaucoup de personnel à gérer et vous allez commencer à créer des échelons intermédiaires dans la hiérarchie. C'est le début de la difficulté et on passe son temps à gérer les relations humaines. Vous êtes moins au courant de tout, et il y a un risque de création de clans dans l'entreprise, de clans qui vont s'affronter et brûler de l'énergie au détriment des résultats.
6- Le 6ième chiffre est "50". C'est le nombre de personnes maxi dans une entreprise sans Comité d'entreprise. Au-delà de 50 personnes, on doit faire des élections, constituer un CE, négocier, etc, etc. On devient une grosse et lourde entreprise et l'ambiance risque de changer... Notons qu'il semble que ce chiffre de 50 risque d'être changé par le gouvernement dans les mois qui viennent.
7- Le septième chiffre est "500". A partir de 500 collaborateurs, les ennuis subsistent mais en principe on gagne suffisamment d'argent pour voir la vie du bon côté !
La proposition de Pierre Gattaz, Président du MEDEF, concernant la proposition d'une rémunération inférieure au SMIC pour les personnes en fin de droit, ont fait coulé beaucoup d'encre tant "à droite" qu'"à gauche". HK et PPC ont rencontré cette situation tout au long de leur leur carrière professionnelle et ont souhaité vous faire partager leur avis, même si ce sujet n'est pas habituel pour nos Vidéos. Encore que notre slogan est : Et la vie devient plus facile...
1- Les stagiaires "bénéficient" déjà de ce salaire en-dessous du SMIC ; ces stages leur mettent le pied à l'étrier et il n'est pas rare qu'ils soient suivis d'une offre d'emploi si le stagiaire est en dernière année d'études. Il faut néanmoins coller à l'objectif. Le chomage donne un revenu supérieur à ce sous-SMIC mais il a pour conséquence que le chômeur perd le contact avec le monde du travail, et plus ça dure, plus il est difficile de recoller au peloton, pour prendre une image cycliste.
2- Une 1ère condition : réserver cette proposition aux personnes qui sont en fin de droit, et aux jeunes qui n'ont pas encore travaillé (après cependant une période de recherche active... L'inactivité est un vrai piège
3-. Nous, nous proposons que cette mesure soit testée pendant un an afin de mesurer les dérives éventuelles auxquelles elle pourrait conduire.
4- Limiter par entreprise le nombre de personnes qui serait payées au "sous-SMIC". Donc, pas plus de x% (5 par exemple)
5- Mettre en avant les entreprises qui adopterons cette mesure, en les invitant par exemple à l'Université d'été du MEDF
6- Donner la parole aux personnes qui auraient retrouvé un vrai job (et la pêche !) après une période de sous-SMIC au sein d'une entreprise.
Comment gérer l'influence pour une grande marque ? Comment se structurer et s'organiser ? Quels outils utiliser ? Comment bien identifier les vrais influenceurs sur Internet ? Réponses de Séverin Cassan, Directeur Communication Digitale, Social Media et MD chez Orange France pour les Vidéos du Succès de PPC & HK.
En deux mots, c'est quoi l'influence digitale pour toi ? Séverin Cassan : "Je vais essayer de faire très simple, c'est la capacité à modifier le comportement d'une personne à travers la production et la diffusion d'un contenu sur le web."
Comment êtes-vous structuré chez Orange pour gérer l'influence ? SC : "Je travaille au sein d'Orange France sur la partie grand public, on travaille avec les équipes pro par ailleurs. Sur les cibles "Grand public", nous travaillons main dans la main entre les équipes digitale et les équipes relations presse et relations publiques à l'identification, à l'activation d'un certain nombre de campagnes, un certain nombre d'événements. Pour cela, on s'appuie sur beaucoup d'observations quotidiennes, de travail quotidien sur le web de manière générale et le web social en particulier."
Comment faites-vous pour bien identifier les influenceurs ? SC : "Ce qui est clef, c'est la matière grise que l'on va mettre derrière ce travail. C'est une petite équipe au sein d'Orange France qui travaille sur ce sujet.c'est leur connaissance, leur expérience, les personnes qu'ils rencontrent dans la vraie vie. On va peaufiner l'observation, la détection par des outils comme :
Klout. On arrête un certain nombre de listes qu'on fait vivre jour après jour."
Quel est l'apport de la Big Data dans votre démarche liée à l'influence digitale ? SC : "La Big Data c'est un peu un gros mot, un buzzword, mais c'est une réalité pour nous. Il faut oublier les effets de mode, la réalité c'est qu'il y a des milliers de citations de la marque Orange, de nos produits, de nos marques, de thèmes qui nous sont chers, de territoires que la marque travaille chaque jour sur le web. la Big Data c'est déjà réussir à traiter ces données, à mettre du sens et à les tourner vers l'action - en particulier pour le sujet qui nous intéresse, à identifier les personnes qui sont pour nous des relais à valeur ajoutée sur nos contenus, sur nos messages."
Quels sont selon vous les meilleurs outils disponibles pour gérer l'influence ? SC : "J'évoquais 3 outils particuliers : Trendybuzz est notre outil d'écoute des conversations sur le web, sur lequel on va travailler plus en profondeur via des traqueurs un certain nombre de thématiques. Et après, on a deux outils que l'on utilise de plus en plus depuis quelques mois. Il y a TraackR, que l'on définit comme le moteur de recherche de l'influence. De manière très simple, il nous permet d'identifier des personnes sur un sujet, de les relier entre elles, de comprendre par quels biais, par quelles personnes attaquer (si j'ose dire) un sujet. Et puis il y a Klout, un acteur américain qui offre une manière très simple et très efficace d'activer des campagnes sur ces mêmes influenceurs."
Quelle complémentarité entre ces trois outils, Trendybuzz, Klout et Traackr ? SC : "La complémentarité c'est que Trendybuzz traite la Big Data, un volume extrêmement important de données. Il nous permet aussi d'avoir une réactivité très grande sur un certain nombre de personnes dont on suit la création de contenu particulièrement et d'être très réactif par rapport à cela sur Twitter. TraackR nous permet d'identifier, de détecter là où Klout est plus un outil d'engagement."
Quel retour sur objectif pour la marque Orange et sur la thématique de la 4G avec l'utilisation de tous ces outils ? SC : "A court terme il y a certaines campagnes que l'on arrive à valoriser en terme d'équivalent média. On mesure la visibilité donnée à certains sujets à travers nos activations et on traduit en équivalent média. A plus ou moyen terme, on mesure la valeur des relations construites, des relations personnelles. Les gens de l'équipe sont en contact très régulièrement avec un certain nombre de personnes. Sur ce terme là, c'est d'un ordre plus qualitatif mais on peut avoir des liens assez forts pour derrière nous permettre de faire passer certains messages, de corriger certaines perceptions. Nous sommes ici au cœur d'une relation humaine entre une marque et des personnes intéressées parc e que fait ou peut dire la marque."
Conclusion : Le futur de la gestion de l'influence selon vous ? SC : "J'ai l'impression qu'il y a peut-être deux axes. Comment à travers la data, toute cette data, être plus précis pour identifier les influences naissantes et les micro-influences ? Le mythe du grand influenceur, du grand gourou, s'effiloche à mesure que le web et le web social se propagent. Le deuxième grand axe concerne l'activation des personnes influenceurs, leaders d'opinion, comment arriver à être pus précis sur leur intention, le contexte dans lequel ils sont, leur identité ... et aller vers encore plus de personnalisation dans notre approche et dans nos activations."
95 Secrets de managers : 95 Je sais ce que tu penses
95 Je sais ce que tu penses Très souvent, quand deux points de vus s'affrontent, l'un des protagonistes imagine et dit à l'autre : je sais exactement ce que tu penses. Evidemment, on ne sait pas exactement ce que pense l'autre ; et de cette approximation naissent des malentendus, des méprises, des quiproquos, des mésententes, des mauvaises interprétations.
La liste est longueur des erreurs qu'on peut commettre en faisant confiance à son intuition : A expose à B ce qu'il pense de la discussion et ensuite B expose à A ce qu'il pense de son côté. voilà ce qui se passe dans la discussion A vers B et B vers A :
15/01/2021 dans Actualité, Actualité Marketing, Analyse de la Blogosphère, Commentaires, Conseils, Curiosité, Le sens du Marketing, Les Vidéos du Succès, Les Vidéos-Conférences, Psycho, Réflexion Marketing, Science | Lien permanent | Commentaires (0)
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