Le 29 avril dernier, Jean-Pierre a écrit une note sur une affiche de la campagne Miss.Tic : Protégeons les enfants ; utilisons des préservatifs.
Et voilà, ce que l'aphorisme lui suggère :
Y a-t-il quelqu’un qui veuille porter plainte contre Miss.Tic pour incitation à la pédophilie ?
Personne
? Tout le monde sait donc que chez Miss.Tic, un sens en cache toujours
un autre, et que le premier n’est là que pour inciter à découvrir le
second.
Bien sûr, il ne s’agit pas de nous prévenir contre le risque
d’infection que nous ferions courir à nos enfants en cas de rapports
non protégés. Cette idée répugnante n’est qu’une accroche.
Lisons
plutôt cet aphorisme de la manière suivante : si nous voulons éviter
que nos enfants ne souffrent de la vie, évitons leur la vie. Ne les
mettons pas au monde.
J’ai déjà eu l’occasion de rappeler la
définition du pessimisme grec : le plus grand malheur, c’est de naître.
Nous avons ici la conséquence de ce principe : pour éviter le malheur,
il faut éviter de naître. Donc évitons de faire des enfants
On se rappelle peut-être de l’affaire Perruche,
Pour la suite, allez butiner sur le blog de Jean-Pierre : c'est TICI. Vous verrez, il y a beaucoup de notes qui donnent à réfléchir...
PS. ça y est, la bande son du Café Philo a été montée (merci Mick Guillois). Et Jean-Pierre a eu la gentillesse de me transmettre ses textes. Je les éditerai au "fil de l'eau". Les textes sont denses et il faut les digérer petit à petit :-))
Bientôt la résolution missticiennee d'une nouvelle question :
Les prises de courant ont-elles un sexe ?
J.P.H.
Rédigé par : Jean-Pierre HAMEL | 17 mai 2007 à 07:52
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Rédigé par : adelave komi holali | 19 août 2008 à 18:09